C’est un Breton qui revient au pays natal Après avoir fait plusieurs mauvais… Il se promène devant les fabriques… Douarnenez
« Délivrez-moi de ma lourde parure… Ces longs habits, cette riche coif… Doublent encore la fatigue du soir… L’heure s’avance, et déjà du manoi… Les murs épais sont enveloppés d’o…
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
ELLE Là-bas, elle va...à la dérive déversant de partout ses charmes et le mystère que seulement elle p… déchiffrer avec sa sa danse de gaz…
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! Au-dessus de l’île on voit des ois…
Le pauvre crocodile n’a pas de C cédille on a mouillé les L de la pauvre grenouille le poiss… Mais tous les oiseaux ont des aile… L avant 1" E
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Si ma pensée emprunte les ailes du… ô visages c’est entendu vous êtes proie pour mes serres et moi je le suis au bec du vent d… car il y a ce mal
J’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur… Alors on ne salue plus a demandé le commandant
Anne qui se mélange au drap pâle e… Des cheveux endormis sur ses yeux… Mire ses bras lointains tournés av… Sur la peau sans couleur du ventre… Elle vide, elle enfle d’ombre sa g…
L’espoir divin qu’à deux on parvie… Et qu’à deux on partage, L’espoir d’aimer longtemps, d’aime… Chaque jour davantage ; Le désir éternel, chimérique et to…
L’effort humain n’est pas ce beau jeune homme sour… debout sur sa jambe de plâtre ou de pierre et donnant grâce aux puérils artif…
Le paon fait la roue le hasard fai… Dieu s’assoit dedans et l’homme le…
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré
mon peuple quand hors des jours étrangers germeras-tu une tête bien tienne s… et ta parole
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
le périple ligote emporte tous les… seule la brume garde ses bras ramè… palanquin et toi c’est une vague qui à mes p… ce bateau-là au fait dans le demi-…
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Tu es là en face de moi dans la lumière de l’amour Et moi je suis là
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
Le nez rouge, la face blême, Sur un pupitre de glaçons, L’Hiver exécute son thème Dans le quatuor des saisons. Il chante d’une voix peu sûre
Contrerime XIV. Le coucou chante au bois qui dort. L’aurore est rouge encore, Et le vieux paon qu’Iris décore Jette au loin son cri d’or.
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
Dures grenades entr’ouvertes Cédant à l’excès de vos grains, Je crois voir des fronts souverain… Éclatés de leurs découvertes ! Si les soleils par vous subis,
S’étendant sur les côtes du cimeti… La maison des morts l’encadrait co… À l’intérieur de ses vitrines Pareilles à celles des boutiques d… Au lieu de sourire debout
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé