Au revoir, Comme il est étrange de saluer son… De changer sans comprendre pourquo… On pense enfin réussir à voir. Comme il est étrange de tomber si…
Maintenant qu’au plafond décli… Que l’absence dans sa paume rec… Et que tout sombre... Maintenant qu’un secret nous un… Une jeune femme, comme la grand…
Dans l’essaim nébuleux des constel… Ô toi qui naquis la première, Ô nourrice des fleurs et des fruit… Blanche mère des visions, Tu nous viens du soleil à travers…
Sur le vieux pont verdi de mousse, Et tout rongé de lichens roux, Deux amants parlaient à voix douce… Et c’était nous ! Lui, penché tendrement vers elle,
Il était un roi d’Yvetot Peu connu dans l’histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Jusqu’où peut aller la danse, Dans le tumulte d’un tapis nocturn… Qu’accompagne, au juste, Cette lumineuse euphorie? Les mains, semblables à des fruits…
Tes pieds sont las de leurs course… Voici le temps des regrets. L’automne a troublé les sources Et dévêtu les forêts. Toutes les fleurs que tu cueilles
Cette voix silencieuse, à un charme inquiétant, elle erre en moi tel un revenant, c’est insensé, je ne sais comment j’ai perdu mon…
« Or y pensez, belle Gantière, Qui m’escolière souliez estre, Et vous, Blanche la Savetière, Ores est temps de vous congnoistre… Prenez à dextre et à senestre ;
Faut-Il que ma douleur aussi soit… Faut-il que par instants je tressa… De trop souffrir pour moi ?—Dans… Près de quelle fenêtre ouvrant sur… Au fond desquels un peu de lumière…
Je connais plus d’un sot qui loue Comme le trésor le plus beau, L’amour que le bon peuple voue A ceux qui suivent son drapeau. Du peuple que me fait l’estime ?
Dans l’ombre silencieuse de la solitude, Les mots se réveillent, écho d’une âme en quête. Ils dansent, légers, sur les rives de l’incertitude, Porteurs de secrets, de douleurs, de prome...
Des vers, à loi, rimeur intarissab… A toi des vers ? C’est un projet… C’est au désert jeter un grain de… Sur le rocher c’est poser un caill… N’ai-je pas vu ma muse trop rebell…
Les ailleurs d’un délire **** Ahmed Khettaoui/ Algérie **** Pourquoi lorsque je déterre mes dr…
Hommes faillis, bertaudés de raiso… Dénaturés et hors de connoissance, Démis du sens, comblés de déraison… Fous abusés, pleins de déconnoissa… Qui procurez contre votre naissanc…
(Épigramme.) Quand quelqu’un dit à une femme Qu’elle est prodigue du corps sien… Il est sot en la haute gamme ; Car ce qu’il dit ne sert de rien :
Destinée éphémère Par Ahmed Khettaoui/Algérie Même si nous salissons les murs, l… Mon âme côtoie l’argile de son tom… Même si nous falsifions l’appel du…
le moment viendrait où tout triomp… ne serait que souvenir émietté sur le sentier de ta mémoire écorc… ce moment où tu repartirais sans désirs assouvi…
Sois-moi fidèle, ô pauvre habit qu… Ensemble nous devenons vieux. Depuis DIX ans, je te brosse moi… Et Socrate n’eut pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe
Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois, l’on peut m’en croire… Un ami bien précieux. Le jour où j’obtins sa foi,
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
Mon regard, posé sur ton corps à l… Ma peau brule, au contact de la ti… Ne restant plus que mon cœur Se battant contre la raison Pourvu que ton âme se mêle à la mi…
Comment pourrez vous suivre dans c… dans cette atmosphère volatile écorché sous ce soleil punitif en découvrant la mort d’un natural… J’ai bien attrapé cette chose cas…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
ELLE Là-bas, elle va...à la dérive déversant de partout ses charmes et le mystère que seulement elle p… déchiffrer avec sa sa danse de gaz…
Doux air mélancolique et suave qui… En lambeaux déchirés épars dans ce… À leurs rugissements monstrueux tu… Et glisses dans leur voix tes soup… Car à peine on saisit, dans leur f…
Ici se clôt le testament Et finit du pauvre Villon. Venez à son enterrement, Quand vous orrez le carillon, Vêtus rouge com vermillon,