Tandis qu’un reste d’ombre obscurc… Et que la brume encore enveloppe l… Derrière la montagne aux cimes den… Le soleil surgit radieux. C’est lui, c’est le soleil ! Éveil…
Quand le premier sculpteur eut ach… Et caché dans son sein les chants… Ouvrier sans défaut, lorsqu’il eut… Parmi ses ornements les figures de… Et qu’il eut couronné l’instrument…
Hôtes de ce séjour d’angoisse et d… Où Satan sur le seuil a mis : Plu… Qui vous brisez le front contre se… Et vîntes échanger, dans cette fan… La perpétuité des peines de ce mon…
Hier après-midi, c’était ma fête… Je me suis fais baisé entre les pa… Par les meilleurs copains . Des sacrés coquins . Paulo avait bandé comme un taureau…
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
« Ô vents, disaient les flots, qua… Dormir à notre gré d’un sommeil la… Trêve à la fin, trêve d’orages ! Laissez-nous refléter dans notre c… Les matins rayonnants, les nuits b…
Quel était ton désir et ta crainte… Quoi ! le vœu de ton cœur, ta Mus… Rougit-elle de l’exprimer ? Alcée, on reconnaît l’amour à ce l… Sapho feint vainement que ton disc…
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
Je sais qu’elle est pareille aux… Elle a des rayons d’astre éclos so… Et je vois aux candeurs de son pie… Qu’il a marché longtemps sur les t… Sa bouche harmonieuse et de charme…
À Alfred Barthe. En pays de Saintonge, où nos meil… Sont, comme au champ d’honneur, mo… Sous le fléau terrible, on voit en… Dominant les hauteurs, un vieux mo…
Corbeau ! Corbeau, Tu m’observes en planant… Scrutant mes moindres gestes, comm… Dans un calme inégalé, parfois imm… Ta patience se révèle bien habile.
Verts bosquets, paisible asile, Où tout sourit à mon cœur ; D’innocence et de candeur Séjour aimable et tranquille ; En vain je veux retracer
Mon Loys, j’ai sous vos prunelles… Oublié, dans mon cœur troublé, Mon époux qui s’en est allé Pour combattre les infidèles. Quand nous le croirons loin encor,
Je suis pédéraste dans l’âme, Je le dis tout haut et debout. Assis, je changerais de gamme, Et, couché sur un lit, Madame, Je ne le dirais plus du tout.
La sombre forêt, où la roche Est pleine d’éblouissements Et qui tressaille à mon approche, Murmure avec des bruits charmants. Les fauvettes font leur prière ;
La mort... certes, mais la ma-mort... c’est autre chose. Il me semble que ma mort n’est ni le but, ni la finalité de ma vie. Ce n’est que son aboutissement logique, et tout homme moral ...
La végétation au printemps est la naissance diverse de plantes, arbres, parterres de fleurs et légumes. C’est le monde végétal dans tout son ensemble qui apporte à l’être humain de quoi...
Blotti comme un oiseau frileux au… Les yeux sur ton profil, je songe… Immobile sur les coussins brodés,… L’enchantement ancien, la radieuse… Et les rêves au ciel de tes yeux v…
Non, je ne te réclame rien ; Conserve de l’heure passée Tout ce que tu pris de mon bien : Mon cœur, hélas ! et ma pensée. Tu pourras en avoir besoin
Quand on est heureux, on n’a pas d… On se cache, on s’aime à l’ombre,… Rien de glorieux, pas de fait noto… Le monde oublié ne vous connaît pa… Si quelqu’un pourtant, avec un sou…
Petite zingarelle à voix d’or, tu… Et nous ouvrons l’oreille à tes en… Ton accent pur va droit à la sourc… Et réveille en nos cœurs de longs… Sous tes grands cheveux noirs, min…
Vous, qui vivez heureux, vous ne s… L’empire que sur moi ces songes po… Mais lorsque je tombais de leur en… A la réalité qui toujours les déme… Si je voulais, luttant contre ma d…
« Jeune imprudent, ne brave pas l’… L’indépendance est un mot oublié ! Courbe ton front ! » me disait un… Qu’au char des grands la crainte a… « Que le bandeau qui couvre nos mi…
Quand je vais triste et seule, et… Je suis quelque nuage errant sur l… Et, comme ces draps noirs qu’on me… Couvrant des boulevards les arbres… Lorsqu’au bourdonnement de ce chao…
Ô quelle est bonne L’eau de Bourbonne A toute personne Elle se donne Pour le curiste
Triste tournant Te rappelles-tu mon amie, te rappe… En ces temps où l’on ne se quittai… Nous voguions dans un beau rêve, Nous espérions que jamais il ne s’…
Mon prochain voyage m’égare, Ne mène à rien. Je ne serai jamais enchanté, De ce départ accablé. La fortune joue des mauvais tours,
Lors de ma dix-septième année, Quand j’aimais & quand je rêvais, Quand, par l’espérance entraînée, J’allais, riant des jours mauvais… Quand l’amour, ce charmeur suprême…
Près de la pierre close Sous laquelle repose Théophile Gautier, (Non tout entier, Car par son œuvre altière
À Gustave Droz. La petite Sara, la brune guitaris… Qui se recueille au bruit de sa ro… Possède une vois d’or dans un gosi… Et m’accepte parfois comme écuyer…