Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
La lune mince verse une lueur sacr… Toute une jupe d’un tissu d’argent… Sur les bases de marbre où vient l… Que suit d’un char de perle une ga… Pour les cygnes soyeux qui frôlent…
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Contemplons ce trésor de grâces fl… Dans l’ondulation de ce corps musc… L’Elégance et la Force abondent,… Cette femme, morceau vraiment mira… Divinement robuste, adorablement m…
II. Le poète s’en va dans les champs ;… Il adore ; il écoute en lui-même u… Et le voyant venir, les fleurs, to… Celles qui des rubis font pâlir le…
La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu… Le coquillage disait à la mer : «… La mer disait au bateau : « tu tre… Le bateau disait au feu : « tu bri…
Si tu veux dénouer la forêt qui t’… Heureuse, tu te fonds aux feuilles… Dans la fluide yole à jamais litté… Traînant quelques soleils ardemmen… Aux blancheurs de son flanc que la…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
La chambre est pleine d’ombre ; on… De deux enfants le triste et doux… Leur front se penche, encore alour… Sous le long rideau blanc qui trem… —Au dehors les oiseaux se rapproch…
Quand je te vois passer, ô ma chèr… Au chant des instruments qui se br… Suspendant ton allure harmonieuse… Et promenant l’ennui de ton regard… Quand je contemple, aux feux du ga…
center Es-tu brune ou blonde ? Sont-ils noirs ou bleus, Tes yeux ? Je n’en sais rien, mais j’aime leu…
Pachira Peau-Rouge et garde empanachée de… ceiba athlète qui par mystère équi… savants fûts d’orgueil d’un giseme… de ma fidélité ou lait ruiné de ma…
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Sonnet. Sous ces arbres chéris, où j’allai… Pour cueillir, en passant, seul, u… Sous ces arbres charmants où votre… Disputait au printemps tous les pa…
La Roue La roue est la plus belle il y a le soleil qui tourne il y a la terre qui tourne il y a ton visage qui tourne sur l…
Morne esprit, autrefois amoureux d… L’Espoir, dont l’éperon attisait… Ne veut plus t’enfourcher ! Couch… Vieux cheval dont le pied à chaque… Résigne-toi, mon coeur ; dors ton…
Comme les anges à l’oeil fauve, Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres de la nuit ; Et je te donnerai, ma brune,
Cet amour Si violent Si fragile Si tendre Si désespéré
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Ce ne sont qu’horizons calmes et p… On voit sur les coteaux des chasse… Le reste du pays, sous le ciel gri… Est une plaine avec une église au… Un lierre monstrueux à tige arbore…
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
Azur ! c’est moi... Je viens des… Entendre l’onde se rompre aux degr… Et je revois les galères dans les… Ressuciter de l’ombre au fil des r… Mes solitaires mains appellent les…
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…
Adieu, belle Cassandre, et vous,… Pour qui je fus trois ans en serva… L’une vit, l’autre est morte, et o… Le Ciel se réjouit, dont la terre… Sur mon premier Avril, d’une amou…
Roule, roule ton flot indolent, mo… Sur tes ponts qu’environne une vap… Bien des corps ont passé, morts, h… Dont les âmes avaient pour meurtri… Mais tu n’en traînes pas, en tes o…
Louis Louis Louis ILE Louis
Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
Comme par miracle Des oranges aux branches d’un oran… Comme par miracle Un homme s’avance Mettant comme par miracle
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue