Épigramme. Margot, qui se marche en triangle, Pète toujours quand on la sangle ; Je ne sais si c’est d’aise ou non, Ou si le calibre est trop large,
Sous le ciel de Florence, alors q… Aux bleus décamérons les étoiles s… Et devant quelque Reine aimable d… Vêtus du long camail, les Poètes… Souvent, au fond du parc mystérieu…
C’était la nuit ardente et le reto… Vaincue et triomphante et chasteme… Elle disait d’un ton de bien-être… Les roses s’effeuillaient sur sa t… Où murmurait encor l’âme des violo…
Les vertus devraient être soeurs, Ainsi que les vices sont frères. Dès que l’un de ceux-ci s’empare d… Tous viennent à la file ; il ne s’… J’entends de ceux qui, n’étant pas…
Quand, au matin, je vois tes persi… Doucement comme des paupières, Et toi-même accoudée au balcon en… Rose blanche, les vieilles pierres… Mon âme livre alors ses ailes au b…
(À M. de la Mennais) Oui, mon âme se plaît à secouer se… Déposant le fardeau des misères hu… Laissant errer mes sens dans ce mo… Au monde des esprits je monte sans…
Jadis certain Mogol vit en songe… Aux Champs Élysiens possesseur d’… Aussi pur qu’infini, tant en prix… Le même songeur vit en une autre c… Un ermite entouré de feux,
Petit papillon doux Essaie de se nourrir Pauvre petit papillon Il n’a rien demander Juste un peu d’eaux
Allons-y chers aventuriers À la découverte du monde À la conquête de votre curiosité Pour se mêler à la différence. Des langues
Dans le salon bourgeois où je l’ai… Ses yeux doux et craintifs, son fr… M’attirèrent d’abord vers elle, et… Que d’un mari brutal elle était sé… Elle venait encor chez ces anciens…
Voyez-vous de l’or de ces urnes S’échapper ces esprits des fleurs, Tout trempés de parfums nocturnes, Tout vêtus de fraîches couleurs ? Ce ne sont pas de vains fantômes
C’était un beau spectacle au milie… La lune qui sortait de ses voiles… Et qui glissait entre deux tours ; L’orage qui là-bas s’avançait dans… Le château qui voyait, de ses tête…
Pressé de désespoir, mes yeux flam… À ma beauté cruelle, et baisant pa… Mon poignard nu, je l’offre aux ma… Et lâchant mes soupirs en ma tremb… Ces mots coupés je presse :
À André Gill. Sous un roi d’Allemagne, ancien, Est mort Gottlieb le musicien. On l’a cloué sous les planches. Hou ! hou ! hou !
Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…
x<… Tiède et blanc était le sein. Toute blanche était la chatte. Le sein soulevait la chatte. La chatte griffait le sein.
À Marc… Un poète ayant rimé, IMPRIMÉ Vit sa Muse dépourvue De marraine, et presque nue :
Le sable du ravin est rouge. L’ea… Fait un bruit de baisers sur les c… L’air bleuit, et là-bas les cloche… Répandent l’angélus du soir aux qu… J’écoute ; le geai crie et le rami…
Le peintre qui voudrait animer un… Du printemps bien fleuri, où y fei… De cristal reluisant, ou l’azur et… Du ciel, alors qu’il est plus sere… S’il voulait faire naître au bout…
Quand il se fait bien tard, et que… Je promène incertain ma fiévreuse… Tâchant de ramener le sommeil qui… Oh ! pourquoi suis-je donc fatigué… Lorsque vers cet asile où tranquil…
Sur le balcon de fer du noir donjo… Monseigneur le dauphin Charles de… Dominant la Touraine immense d’un… Écoute dans le soir mourir le son… L’enfant captif envie, humble cœur…
DITHYRAMBE. À M. Eugène de Genoude. Son front est couronné de palmes e… Son regard immortel, que rien ne p… Traversant tous les temps, souleva…
L’abeille qui plongeait dans cette… Mes doigts agilement sur elle ont… Entends, si ton oreille approche s… L’insecte bourdonner sur un ton qu… Ce n’est là qu’une image encore, m…
Auprès de ce beau teint, le lys en… Le lait est basané auprès de ce be… Du cygne la blancheur auprès de vo… Et celle du papier où est votre lo… Le sucre est blanc, et lorsqu’en l…
La nuit avec ses mains d’insidieux… Jumelle du néant sardonique et bla… Hier, la nuit, qui tient le sarcas… Délaya dans mon cœur la morgue et… Alphabet primitif, simple mnémotec…
Tout ce que je sais, c’est que sans toi, je suis une partition sans accord, tu es la musique qui accompagne me… les autres sont des notes qui vire…
Chansons, chansons, chansons, chan… Des larmes avec des baisers... Puis vient l’automne et nous passo… L’herbe des champs a bien passé. J’ai pleuré comme font les autres
Petite maison basse, au grand chap… Qui, d’hiver en hiver, semble s’êt… Dans la terre sans fleurs, autour… Petite maison grise, au grand chap… Au lointain bleu, là-bas, dis-le-m…
Ô douce Nuit, ô Nuit plus amoureu… Plus claire et belle, et à moi plu… Que le beau jour, et plus chère ce… D’autant que moins, ô Nuit, je t’… Et vous, du ciel étoiles bien appr…
Sonnet. Vois à loisir ce lieu champêtre ; Les jours y coulent sans ennuis : Tâche, si tu peux, de connaître Tant d’herbes, de fleurs, et de fr…