Une Tortue était, à la tête légèr… Qui, lasse de son trou, voulut voi… Volontiers on fait cas d’une terre… Volontiers gens boiteux haïssent l… Deux Canards à qui la commère
Souvent, dans mes accords, ardents… Des grandes nations se déroulaient… Ou, détournant mes yeux de ce glob… Je déployais mon vol aux champs de… L’univers, dans toutes ses phases
J’ai dit à la forêt haute et plein… « Tuer, seul me déride ; J’irai dans tes abris dépister le… Et le lièvre timide. » Lors la forêt m’offrit, pour mon r…
Philis, qu’est devenu ce temps Où dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ajustements, De tes grâces seules ornée, Contente d’un mauvais soupé
Bénis soient tes crayons, ô toi, j… Qui de nos Rosalba suivant déjà l… À mes yeux consolés retraces Avec tant d’élégance et de fidélit… Celle qui m’adoucit ma triste céci…
A chaque berceuse de la mère, Renaissent toutes les étoiles. A chacun de ses baisers, Rient les lèvres parfumées De toutes les splendides nouvelles…
Puisque l’ennui, pauvre homme, Te jette encore à de nouveaux voya… Emporte au moins dans l’âme L’adieu doré des beaux jours de l’… Comme un baiser l’après-midi s’ach…
Dans ce récit je prétends faire vo… D’un certain sot la remontrance va… Un jeune enfant dans l’eau se lais… En badinant sur les bords de la S… Le Ciel permit qu’un saule se tro…
Même en deuil pour cent trahisons, À vos soleils nous embrasons Nos cœurs meurtris, jeunes saisons… Ô premières roses trémières ! Ô premières amours ! Premières
C est la plume de l auteur . C est la rubrique de la gazette . Le chat cerbère .. c est le vieux… Qui as bien rouler sa botte . C est Alain le poète raconteur .
Quand il se fait bien tard, et que… Je promène incertain ma fiévreuse… Tâchant de ramener le sommeil qui… Oh ! pourquoi suis-je donc fatigué… Lorsque vers cet asile où tranquil…
D’où vient que personne en la vie N’est satisfait de son état ? Tel voudrait bien être Soldat A qui le Soldat porte envie. Certain Renard voulut, dit-on,
J’aime les vieux manoirs, ruines f… Qui des rocs escarpés dominent les… J’aime du haut des tours de leur s… A voir se dérouler un immense hori… J’aime, de leur chapelle en parcou…
(Madam… Dieu ne plaise, Olympe, que je gr… Dessus ton corps comme un audacieu… Ne fut-ce pas dessus le mont Olym… Que les Titans firent la guerre a…
D’une main engourdie il écrit ses… Dès le petit matin au soleil filtr… Sur la feuille vierge où il couche… Délie les mots mêlés sous un ciel… La plume posée sur l’ébauche d’un…
Chère, voici le mois de mai, Le mois du printemps parfumé Qui, sous les branches, Fait vibrer des sons inconnus, Et couvre les seins demi-nus
Le vieux crapaud de la nuit glauqu… Vers la lune de fiel et d’or, C’est lui, là-bas, dans les roseau… La morne bouche à fleur des eaux, Qui rauque.
Je connais, au fond d’une anse Où sa maigre forme danse, Un érable mort, Mort nous raconte une histoire De s’être penché pour boire
Dans le salon bourgeois où je l’ai… Ses yeux doux et craintifs, son fr… M’attirèrent d’abord vers elle, et… Que d’un mari brutal elle était sé… Elle venait encor chez ces anciens…
Sur le bonheur des justes, Et sur le malheur des réprouvés. (Tiré de la Sagesse, chap. 5.) Heureux, qui de la Sagesse Attendant tout son secours,
C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;
J’aurais bien voulu vivre en doux… Vivre d’un radis et de l’eau qui c… Mais l’art est si long et le temps… Je rêve, poignards, poisons, dynam… Avoir un chalet en bois de sapin !
Je suis un ange. Mes défauts, je les cache Et les vertus, je les adapte Dans le temple de mon apparence. Je suis un archange.
Eh quoi ! pour vous ma voix trop p… Essaie en vain un chant naïf et do… L’essor pourtant lui doit être fac… Lorsque son vol le pousse ainsi ve… Joyeux essaim qui, murmurant, t’év…
Oh ! lorsque incessamment tant de… S’impriment à la rame, Et que notre Thalie accouche tous… D’un nouveau mélodrame ; Que les analyseurs sur leurs gros…
La Pa… Bénite est l’infertile plage Où, comme la mer, tout est nud. Sainte est la chapelle sauvage De Sainte-Anne-de-la-Palud...
Je te cherche ce matin comme tant… Dans l’aube et dans la clarté de l… Je te cherche au fond des bouteill… Et dans le mouvement des corbeaux Dans le vide derrière les choses j…
Il était jeune, beau, d’un esprit… Cet homme qui s’énerve aux bras de… Et dont la volupté, fatale enchant… A décharné la joue et fait l’œil t… C’est elle qui, mêlant des philtre…
N’aimez plus tant, Phylis, à vous… Le plus ardent amour n’a pas grand… Les nœuds les plus serrés sont le… A force d’aimer trop, souvent on n… Et ces liens si forts ont des lois…
Un jour, tu cesseras de parcourir le monde comme si tu devais tout porter à bout de bras : le Soleil, le Ciel, les heures sombres de la nuit, l’instant secret où l’on frappe à ta porte ...