Dans tous mes rêves c’était vous ! Vous étiez belle, Et je tombais à vos genoux : Ou si, rebelle, Quand vous me donniez un doux nom,
Quand je me hasarde à descendre Jusques aux bas-fonds du désir, À l’heure où l’on pèse la cendre Que laisse après soi le plaisir ; Ou quand je sonde l’origine
Malheur, malheur à qui dans cette… Du coeur de l’homme jette imprudem… Car le plomb bien souvent, au lieu… De coquilles de nacre aux beaux re… N’apporte sur le pont que boue inf…
Toutes les fois, miroir, que tu lu… À se mettre du noir aux yeux ou su… La poudre parfumée, ou bien dans u… Charmante, son carmin aux lèvres,… « Je dormais reflétant les vers, q…
Quand on est heureux, on n’a pas d… On se cache, on s’aime à l’ombre,… Rien de glorieux, pas de fait noto… Le monde oublié ne vous connaît pa… Si quelqu’un pourtant, avec un sou…
Sur un quartier de roche, un fantô… Le menton dans la main et le coude… Les pieds pris dans le sol, ainsi… Pleure éternellement sans relever… Quel chagrin pèse donc sur ta tête…
La cloche qui sonne on ne l’entend… L’air est trouble Un bruit de pas glisse sur le pali… Personne n’entre Non personne ne veut entrer
Tableau III. Le sommeil a touché ses yeux ; Sous des pavots délicieux Ils se ferment, et son cœur veille… À l’erreur ses sens sont livrés.
Fantastiques d’aspect sous leur no… Mais, très humaines par leurs caq[… Les commères, barrant la route aux… À la messe s’en vont d’un gros pas… « Tiens ! v’là l’pèr’ Pierr’! fai…
Je t’appellerai... Tu me répondras, Pendant tes heures de travail, Puis tu sortiras, Et je serai là,
À Degas. Les cheveux plantureux et blonds,… Se redressent altiers : deux touff… Se collent sur le front en moqueus… Aigues-marines, dans le transparen…
Que n’as-tu comme moi pris naissan… Que n’as-tu pour tout bien un mode… Olivier ! les trésors d’un brillan… Valent-ils le bonheur que t’offrit… Tu vas donc sans regret quitter ce…
Dans la foule, Olivier, ne viens… Sois là, mais sans parler, tâche d… Ta voix a des accents qui me font… Ne montre pas l’amour que je ne pu… D’autres yeux que les tiens me reg…
J’ai secoué du rêve avec ma chevel… Aux foules où j’allais, un long fr… Me suivait, comme un bruit de feui… Et ma beauté jetait des feux comme… Au large devant moi les cœurs fuma…
Toc toc !—L’homme prêtant l’oreil… Hache en main, guettant scélérat, Dit : « Qu’est là ?—Moi ! » La v… D’un coup, il abattit la vieille. Depuis, hanté par les alarmes,
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
Une jeune et blanche novice, À l’ombre des bosquets cloîtrés Rêvant à son pur sacrifice, Promenait ses vœux timorés ; Et sur des agnus consacrés
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Connaissez-vous la blanche tombe Où flotte avec un son plaintif L’ombre d’un if ? Sur l’if, une pâle colombe, Triste et seule, au soleil couchan…
Quand de la divine enfant de Norv… Tout tremblant d’amour, j’osai m’a… Il tombait alors des flocons de ne… Comme un martinet revole au cloche… Quand je la revis, plein d’ardeurs…
Lasse enfin de courir, vagabonde p… Ne reprendras-tu point ton allure… Ton pas doit-il fouler le pavé des… Et ta main, sans pudeur, toucher t… N’as-tu pas regretté, dans tes lab…
C’est l’heure où la fatigue au som… Où la brise fraîchit avec l’ombre… Je m’en vais seul et triste en reg… Hélas ! de tout le jour je n’ai pa… Je regarde le ciel pour découvrir…
Le silence descend en nous, Tes yeux mi-voilés sont plus doux… Laisse mon cœur sur tes genoux. Sous ta chevelure épandue De ta robe un peu descendue
Rayures d’eau, longues feuilles co… Par mes plaines d’éternité comme i… Et de la pluie et de la pluie– et… D’un gros vent boursouflé qui gonf… Et qui tombe, rayé de pluie en de…
Quand ils vinrent louer deux chamb… Le portier, d’un coup d’œil plein… Comprit tout et conclut : – C’est… Le garçonnet, avec ses yeux intell… Était gai d’être en deuil, car sa…
Sonnet. Pour le doux ébat que je puisse ch… Souvent, après dîner, craignant qu… Je prends le manche en main, je le… Tant qu’il soit en état de me donn…
¿ Por qué confié en vos ? te abrí mi alma te abrí mi corazon te deje pasar deje que vivieras en mi
Emmène-moi sur ces collines Bercées par une brise essoufflée Où le soleil en vagues fines Lèche les flancs d’un voile éthéré… Sur le chemin nous croiserons
L’air était pur ; un dernier jour… En nous quittant, arrachait la cou… Au front des bois ; Et je voyais d’une marche suivie Fuir le soleil, la saison et ma vi…