Damœtas le poète et Methymne le s… Dans l’agreste douceur d’un calme… Où brille une eau courante, où pai… Assis près de la ruche, alternent… Methymne gravement dit l’essence d…
Souvenez-vous des humbles cimetièr… Que voile aux villages voisins Le pli d’un coteau pâle où pendent… Qu’éveille, au point du jour, l’ai… Seuls, les vieux fossoyeurs ont d’…
Sonnet. 1608. Voyant ma Caliste si belle, Que l’on n’y peut rien désirer, Je ne me pouvais figurer
J’aime quand nos regards se croise… Quand mes yeux, éblouis, vénèrent La beauté de tes iris verts, Le plus beau des verts qui m’écras… J’aime quand souvent mes narines
Je suis énervé, frustré, déçu et t… Ces initiateurs de la folie de ma… Initialement de mon unique parti, Qui me complexifie réellement ma v… Ils veulent en tout moment, me pro…
Pour un ami Pour un ami envers qui j’ai tant d… Je voudrais l’aimer à en perdre la… L’aimer en lui consacrant toujours… L’aimer au point de mourir, de ver…
C est la rubrique de la Sentinell… Le père Noël des lapons finnois… L homme musclé naquit sur le sol a… Son décès remonte depuis des décen… Le six décembre 1823 .
Il avait plu. Le ciel jetait par… Des rayons incertains sur la vallé… Et trouait le brouillard et les nu… Sur le bord du chemin les fins bou… Et les chênes trapus auprès des sa…
Dieu, c’est la beauté, Dieu, beau… Dans le buisson de flamme à son pe… Aux lèvres de Moïse, aux lèvres d… Et ses discours profonds sont clai… Son livre est un chœur vaste où D…
Distraite et malheureuse, Sur un bouquet de fleurs Une fille rêveuse Laissait tomber des pleurs ; Un timide sourire
Le prêtre avait béni l’enfant qu’o… Trois vieilles sœurs buvaient au f… Depuis DIX ans les sœurs ne s’ét… Qu’une fois ; les soleils de Pari… On se voit quand on peut dans la s…
Sous un soleil ressort du paysage Une femme s’emballe Frise son ombre avec ses jambes Et d’elle seule espère les espoirs… Je la trouve sans soupçons sans au…
Le sang injustement répandu est lo… C’est la rosée des cieux innocente… Qui ressort en moissons plantureus… Plus douce encore à ses veines tou… L’âme rouge dans elle de ses fils…
Au paysage que révèle Le matinal rayon du jour, La brume, gaze du contour, Ajoute une grâce nouvelle : La rêverie est, pour l’esprit,
Sonnet LI. Mauny, prenons en gré la mauvaise… Puisque nul ne se peut de la bonne… Et que de la mauvaise on peut bien… Etant son naturel de n’être jamais…
C’est la triste feuille morte Que le vent d’octobre emporte, C’est la lune, au front du jour, Que nulle étoile n’escorte, Au soleil, c’est mon amour,
C est le chapitre de Mars . Un article sur le journal Express… Le prince avait traversé le palais… Tu vois .. il était habillé de pa… Pour négocier la liberté du peuple…
Des hommes pareils « Vous vous êtes et nous nous somm… Des hommes pareils qui ont tous un… On partage tous ce royaume dans le… D’une beauté éphémère que l’on meu…
Cigales, mes sœurs, Qu’importe à nos cœurs La richesse des granges pleines ? Pourvu que nos voix Sonnent par les bois
Bonjour, le poète Alain s’est fai… Par un dard puissant et crémeux . Le cul ouvert aux amis .. les jam… Le coquin l as bien pénétré .. pi… Je suis fier de me faire sodomisé…
À Georges Lafenestre. LE PEINTRE. À quoi donc penses-tu, mon pauvre… D’une rêveuse main tenant ton ébau… Reviens-tu de pétrir un masque mor…
Je ne peux Amie, ô mon amie t’aimais-je un jo… Toi que j’aurais voulu aimer pour… Te serrer intensément dans mes bra… Aujourd’hui je me rend compte que…
Ma vie, je la vis maintenant Parce que hier ne sera qu’un souve… Les larmes d’hier ne seront que tr… Les joies d’aujourd’hui ne seront… Je m’accroche à l’idée que cette f…
Provençaux, le soleil d’ici Ne voit pas que des filles brunes… Nous avons des blondes aussi, Et j’en veux nommer quelques-unes… Parmi notre mourvèze noir,
Pourquoi, d’une vague implacable, Vieil Océan, viens-tu toujours Battre de ta prison de sable Les indestructibles contours ? Ta perds ton temps, tu perds ta pe…
Sur le seuil des enfers Eurydice… S’évaporait légère, et cette ombre… À son époux en vain dans un suprêm… Avait tendu les bras. Vers la nui… Par delà les flots noirs le Desti…
À Gustave Godard. Le soleil du matin tombe en bruine… À travers les rideaux de blanche m… C’est comme un fin brouillard de l… Éclairant l’oreiller d’une blonde…
Va dire, Amour, ce qui cause ma p… A mon seigneur, que je m’en vais m… Et, par pitié, venant me secourir, Qu’il m’eût rendu la Mort moins i… A deux genoux je demande merci.
Les plaisirs de la campagne. Oui, Lamoignon, je fuis les chagr… Et contre eux la campagne est mon… Du lieu qui m’y retient veux-tu vo… C’est un petit village, ou plutôt…
C est le chapitre de Priska . C est la rubrique du journal Comè… Le capitaine Atlas .. le héros f… Zeus est venu détruire le palais d… La muse Xéna s était éloignée dan…