Quand notre âme est pleine, Nous chantons, enfants ! La joie ou la peine Ont besoin des chants. Le chant, lit de mousse,
Amours de ma jeune vie S’éveillant dans cette vie nouvell… C’est une jeunesse heureuse qui se… Semée par des sentiments joyeux, Abondée par quelques éclairs amour…
Quand tu dors à qui rêves-tu, Toi, leur seule & chère espérance… À laquelle, ô cœur combattu, T’arrêtes-tu de préférence ? Est-ce à celle qui dort toujours
À madame Ernest Courbet. LE PAPILLON. Où t’endors-tu, le soir, pauvre pe… Butineuse des fleurs, qui t’en vas… Dès la pointe du jour, quand l’aub…
Tableau V. Ah ! Justine, qu’avez-vous fait ? Quel nouveau trouble et quelle ivr… Quoi ! cette extase enchanteresse D’un simple baiser est l’effet !
Grand ami Trop longtemps je n’ai eu personne… Le moindre ami à qui je pourrait m… J’étais seul dans ma vie, mais Di… Je priais avec persévérance pour c…
Notre Eldorado, Mes amis, enfin doit éclore : Malgré mon bandeau, Je vois une nouvelle aurore. Aux cieux extasiés
C’est une enfant Elle a mal C’est un déchirement C’est anormal Ca ne se voit pas
Cette vie nouvelle Qu’étais-je devenu en ce temps, Un homme rempli d’un mal sévissant… Enfermé par ma nature pécheresse, Causant à d’autres quelques triste…
Combien connaissez-vous d’hommes v… Sur le globe terrestre ?—A part m… Aux élus qui du ciel ont tout reçu… Je n’en trouve qu’un seul... Il v… Le fils d’un paysan, paysan comme…
C est la chronique de Friday . C est un article sur la gazette S… Le panier percé .. le bonheur est… C est un gamin .. qui l as ramass… Qui l as donné à la fée du logis…
Te souviens-tu de ce matin d’hiver… De la dernière et chère promenade… Il faisait beau, le soleil était c… C’était un temps d’heureux ou de m… C’était aussi notre pays charmant,
Aujourd’hui en pleine nuit, tituba… je m’aperçois qu’enfant, caressant… je volais dans un sens, où arrivai… Chaque seconde était maître, d’éme… en haut de nos sourcils. Dos droit…
Chère épave d’amour ! Se peut-il… Oh ! ne laissez jamais le doux êtr… Pleurant et souriant, dire : « Je… Ceux-là qui s’étaient joints, l’ab… Petite lettre écrite avec mélancol…
Adieu, chère amie ! Quelle dure étape que la séparatio… C’est comme si l’on nous arrachait… Ce soir c’est une fin tragique de… Un pas difficile après des jours p…
Entre les plis de votre robe close On entrevoit le contour d’un sein… Des bras hardis, un beau corps pot… Suave, et dans la neige modelé, Mais dont, hélas ! un avare dispos…
L’empereur vit, un soir, le soleil… Il courba son front triste, et res… Puis, comme il entendit ses horlog… Qu’il venait d’accorder, d’un pied… Il pensa qu’autrefois, sans avoir…
Par la chaîne d’or des étoiles viv… La Lampe du ciel pend du sombre a… Sur l’immense mer, les monts et le… Dans la molle paix de l’air tiède… Bercée au soupir des houles pensiv…
Sans briser l’idole qu’on aime, S’accuser ou se repentir, C’est le moyen de pervertir Notre conscience elle-même : Mal faire en disant Peccavi !
La bande roule aux mains des plus… Celui qui tient la corde serre bie… Il s’agit d’entrer Une ombre dans l’angle du couloir… Le silence file le long du mur
Fable VII, Livre IV. —Tandis qu’en vain cet arbre utile Attend l’eau dont il a besoin, Pourquoi prenez-vous tant de soin De cet arbre ingrat et stérile ?
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
Muse, est-ce vous ? dans ces bois… Où l’Aquilon au loin gronde et mu… D’un long regard, aux bosquets eff… Vous demandez-leur riante parure. C’est vainement. L’impitoyable hi…
Les champs sont comme des damiers Teintés partout du blé qui lève. Avril a mis sur les pommiers Sa broderie exquise et brève. Avant que les soleils brutaux
Sonnet. Béatrix Donato fut le doux nom de… Dont la forme terrestre eut ce div… Dans sa blanche poitrine était un… Et dans son corps sans tache un es…
Madame, on dit que les bons compte… Font les bons amis. Soit, compton… Comme dans les comptes des contes, Par bœufs, par veaux et par mouton… Pris un jour une cigarette
De nouveau après tant de sombres j… Brille dans le ciel bleu. L’hiver bientôt va finir, bientôt… S’avance dans sa robe de lin. Après le corbeau affreux et le sif…
C est le chapitre de l hiver . C est la rubrique du mardi matin… Les enfants des rues du Trop Kadé… Du sarouth et du rouge riz voltril… C est les gamins misérables .. me…
Un arabe à Marseille autrefois m’… Qu’un pacha turc dans sa patrie Vint porter certain jour un coffre… Au plus sage dervis qui fût en Ar… Ce coffret, lui dit-il, renferme d…