Par crainte, erreur ou poésie Nous compliquons tout à plaisir ; Les éclairs de la jalousie, Les prismes de la fantaisie Font tout mal voir et mal saisir :
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Il fait bon voir, Paschal, un con… Et l’une chambre à l’autre égaleme… D’antichambre servir, de salle et… En un petit recoin de DIX pieds… Il fait bon voir autour le palais…
Tandis que sur l’herbe étendu, Au bord d’une onde enchanteresse, Fuyant et la molle paresse Et le travail trop assidu, Je ris de l’humaine faiblesse,
Quand l’amitié tremblante T’abandonna mon sort, Que ta main bienfaisante Me sauva de la mort, Pour la reconnaissance
Sur les gazons verts, le soir nous… Au clair de la lune, au bruit des… Tout brûlant d’amour, le Ciel dit… Je ne puis descendre et baiser tes… Ni dans tes beaux yeux, par le soi…
Pardonnez-moi, Seigneur, mon visa… Vous qui l’aviez formé de sourire… Mais sous le front joyeux vous avi… Et de vos dons, Seigneur, ce don… C’est le mois envié, c’est le meil…
Le poète Alain fréquente les bars… L autre soir .. il est rentré en… En trois minutes .. je me suis re… Sur un vieux billard . Un copain as commencé à mettre son…
Une mort féroce Nous laissant que peu d’espoir de… Un prédateur maléfique nous suit à… Rodant derrière nous, scrutant cha… Avant de nous ôter la vie avec fra…
A travers le réseau des branches q… Trace avec la vigueur des dessins… La lune, comme un feu qui dans le… Montait, luisant au bord du bois c… Tu manquais à mon bras, mignonne,…
Quand je monte vers la barrière, En laissant la ville en arrière, Quand la rue est près de finir, Un mirage, un décor, un rêve Au bout de mon chemin se lève :
Et vos cheveux, alors, de sombres Deviennent gris, et de gris, blanc… Comme un peuple aux ailes sans nom… De colombes aux vols tremblants. Suis-je sur terre ou bien rêvè-je…
On me voit, courant les pieds nus, Rire avec les premiers venus ; D’autres fois en mules de soie Aux palais j’apporte la joie ; Car du même pas empressé
Quand vous venez, ô jeune beauté b… Par vos regards allumer tant de fe… On pense voir Cypris, fille de l’… Épanouir et les Ris et les Jeux. Chacun, épris d’un désir langoureu…
A changer ce monde, en bain de bon… A transformer les frondes, en lumi… Je ne suis pas artistes, juste mél… D’une nature reine, où grandissent… Où les arbres centenaires, apprenn…
Sur la petite place, au lever de l… Le marché rit joyeux, bruyant, mul… Pêle-mêle étalant sur ses tréteaux… Ses fromages, ses fruits, son miel… Et, sur la dalle où coule une eau…
Mètre divin, mètre de bonne race, Que nous rapporte un poète nouveau… Toi qui jadis combattais pour Hor… Rythme de Sappho ! Fais-moi fléchir la belle nymphe é…
STANCES. Composées en Bourgogne. 1609. Complices de ma servitude, Pensers, où mon inquiétude
Je reprends ma plume Pour t’écrire Ça fait tellement longtemps Car j’avais besoin de guérir J’aimerais soulever avec toi l’enc…
La lune, dites-nous si c’est votre… Ô lune cajoleuse ! Que les hommes se plient au gré de… Comme la mer houleuse, Est-ce votre vouloir que ceux qui…
Oui, si dans mes beaux jours, comm… Vous m’étiez apparu, mains jointes… Vous alors, à mes yeux, ange, sain… J’aurais courbé la tête Et fléchi les genoux.
Je ne pouvais imaginer un chef aussi bienveillant Aussi attentionné et aussi patient Pourtant que vous le croyez ou non
Viens, ô ma Bouteille chérie, Viens enivrer tous mes chagrins. Douce compagne, heureuse amie, Verse dans ma coupe élargie L’oubli des dieux et des humains.
Tu l’as connu, ma chère Éléonore Ce doux plaisir, ce péché si charm… Que tu craignais, même en le désir… En le goûtant, tu le craignais enc… Eh bien ! dis-moi : qu’a-t-il donc…
C est le journal Corporama . Le plaisir des yeux et des mains… J adore branler quelques queues . J aime la bonne bite en érection… Pour mieux sucer le gland crémeux…
Hélas ! hier encor sur mon front,… Sont venus se poser la joie & le p… J’ai ri comme une folle... aujourd… Car ma porte est fermée & j’en ai… Ô pauvre humanité ! J’ai pitié de…
Sonnet CXXVI. Tu sois la bienvenue, ô bienheureu… Trêve que le chrétien ne peut asse… Puisque seule tu as la vertu d’enc… De nos travaux passés la souvenanc…
A l’abri de l’hiver qui jetait vag… Sa clameur, dans la chambre étroit… Où mourait un bouquet fait de ta f… Parmi les visions de l’étourdissem… Pendant qu’avec la joie extrême d’…
Bonne étoile et bon vent, fortuné… Qui t’en vas sous le ciel des îles… Où de grands orangers, aux bords d… Se mirent dans le bleu profond des… Tu reviendras joyeux dans ta fraîc…
Jeune femme aux yeux noirs, étourd… Entre mille pensers indécise et fl… Qui veut et ne veut pas, et bientô… Où prendre ni fixer, tes voeux irr… Qui n’aime point le mal et pourtan…