Regard… La lune tout à l’heure à l’horizon… Tandis que tu parlais. Victor Hugo. Couchez-vous, petit Paul! il pleu…
Le Soleil, le foyer de tendresse… Verse l’amour brûlant à la terre r… Et, quand on est couché sur la val… Que la terre est nubile et déborde… Que son immense sein, soulevé par…
Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s’est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau. Il n’y a beste, ne oyseau,
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le s… L’oiseau si tendre l’oiseau moqueu… L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain se cogne
Le grand monde est mort sans doute… Mais qu’il fait bon, mon Dieu, da… La cheminée emplie de charbons rou… Colore le plafond d’un reflet somn… Et l’on n’entend que l’eau qui bou…
Doulcin, quand quelquefois je vois… Qui ont le diable au corps, ou le… D’une horrible façon corps et tête… Et faire ce qu’on dit de ces vieil… Quand je vois les plus forts se re…
Dans les tours de Bothwell, priso… Plus d’un brave oubliait (tant cet… De pleurer son malheur et sa cause… Moi-même, en d’autres temps, je vi… Dans ma pensée encor, flots couran…
dans le sol il y a une hâte que la syllabe de l’évènement ne dénoue pas mais seulement la terre en un flot sans galet pétrissant d’espace et faisaient aux villes une grande ceinture cha...
Une jeune guenon cueillit Une noix dans sa coque verte ; Elle y porte la dent, fait la grim… Dit-elle, ma mère mentit Quand elle m’assura que les noix é…
Rien n’est jamais acquis à l’homme… Ni sa faiblesse ni son coeur Et q… Ouvrir ses bras son ombre est cell… Et quand il croit serrer son bonhe… Sa vie est un étrange et douloureu…
Il existe près des écluses Un bas quartier de bohémiens Dont la belle jeunesse s’use À démêler le tien du mien En bande on s’y rend en voiture,
Harpagon, qui veillait son père ag… Se dit, rêveur, devant ces lèvres… « Nous avons au grenier un nombre… Ce me semble, de vieilles planches… Célimène roucoule et dit : « Mon…
j’habite une blessure sacrée j’habite des ancêtres imaginaires j’habite un vouloir obscur j’habite un long silence j’habite une soif irrémédiable
Où je vais, d’où je viens. Pourquoi je suis trempée. Voyons, ça se voit bien. Il pleut. La pluie, c’est de la pluie
Dernier râle du mourant dans le de… pope A Changhaï ramassons les enfants off… pestilences touffues qui montent d…
Demain, dès l’aube, à l’heure où b… Je partirai. Vois-tu, je sais que… J’irai par la forêt, j’irai par la… Je ne puis demeurer loin de toi pl… Je marcherai les yeux fixés sur me…
Aujourd’hui l’homme blanc Ne s’étonne plus de rien Et quand il jette à l’enfant noir Au gentil cireur de Broadway
L’aube est moins claire, l’air moi… Le soir brumeux ternit les astres… Les longs jours sont passés ; les… Hélas ! voici déjà les arbres qui… Comme le temps s’en va d’un pas pr…
Sans doute est-il absurde de salue… océan restée debout à la verticale parmi… et dont le cœur à chaque battement… un délire vrai de lianes.
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
A la fin de la noce William Blake en fera cadeau au boucher Il oubliera défunt son perroquet Et s’en retournera tuer les bêtes Avec un gros maillet Nous ne sommes pas à un oiseau près P...
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
(Extrait) Aigles qui passez sur nos têtes, Allez dire aux vents déchaînés Que nous défions leurs tempêtes Avec nos mâts enracinés.
C’est ici la case sacrée Où cette fille très parée, Tranquille et toujours préparée, D’une main éventant ses seins, Et son coude dans les coussins,
Je le dis sans blesser personne, Notre âge n’est point l’âge d’or : Mais nos fils, qu’on me le pardonn… Vaudront bien moins que nous encor… Pour peupler la machine ronde,
Dans les manèges du mensonge Le cheval rouge de ton sourire Tourne Et je suis là debout planté Avec le triste fouet de la réalité
Las ! cettui jour, pourquoi l’ai-j… Puisque ses yeux allaient ardre mo… Doncques, Amour, faut-il que par… Soit transmué notre heur en désesp… Si on savait d’aventure prévoir
des terres qui sautent très haut pas assez cependant pour que leurs… faim de l’homme entendu des mousti… tout ce qui s’allonge de chaleur h… O justice midi de la raison trop l…
allo allo encore une nuit pas la p… même noyé je n’aurai jamais cette… le courant de la journée blonde co… de cette terre-là allo allo encore… avec des baguettes de chinois allo…