C’est les bulles du mardi . C’est une page .. une belle poési… Le poète Alain .. c’est un emplo… Dans un deux pièces au rez-de-chau… Le corps nu as imaginé .
A chacun de tes pats, s’ouvre une… Quand la magie s’opère, où le ciel… les éclairs coriaces, croisent nos… Alors des athlètes, ils remirent l… Notre chère relation, à sa vu oubl…
Je me suis dit les mots câlins Que personne ne peut me dire, Ceux qui ne parlent pas en vain Au cœur qui se ronge et soupire. Allez, je me suis bien aimée,
Lorsque le jeune Edgard, après bi… Au seuil de son château s’en vint… Traversa lentement les cours aband… Et près du vieux foyer voulut enfi… Il vit avec douleur au manoir de s…
(Sur l’amour de Dieu.) Docte abbé, tu dis vrai ; l’homme,… En vain, sans aimer Dieu, croit s… Toutefois, n’en déplaise aux trans… Du fougueux moine auteur des troub…
Je suis dans ma maison chérie D’où je vois les jours s’écouler ; Tour à tour soleil, brume, pluie Vont rire, fondre et s’envoler. Ah ! que de soirs dont je recueill…
Mon fils, ma fille, cette bénédict… Dans tout ce que l’on peut posséde… Quelles que soient les richesses,… On a beau amasser beaucoup d’or et… On ne trouve rien de plus précieux…
Le bonheur est mélancolique. Le cri des plus joyeux oiseaux Paraît lointain comme de l’eau Où se noierait une musique. À l’œil qui s’en repaît longtemps
Fable XVIII, Livre III.… Toi, chez qui tant de sens à tant… Chez qui les préjugés n’ont jamais… Toi qui fuis en tout les excès, En tout, même en philosophie ;
Inséparables amis Quelle joie d’etre ensemble, De profiter de cette amitié qui no… Je te connais et je t’aime mon ami… Tu es la seule avec qui je souris,
Mon seul bien Chair de ma chair, je te connais d… Je ressens une affection pour toi… Et dès à présent tu trouves bon de… Tu as pensé qu’il étais temps de t…
Pourquoi rester d’aplomb, vie ou mort sans option, Se brosser toutes les dents, s’épiler complètement, Qu il faut savoir ranger, dans l armoire aux trophées. Nous ne sommes que zombie, ...
Sonnet. J’adore l’indécis, les sons, les c… Tout ce qui tremble, ondule, et fr… Les cheveux et les yeux, l’eau, le… Et la spiritualité des formes grêl…
La nuit tranquille avait des chuch… Sortant des tamarins, des myrtes e… Souffles d’oiseaux dormant parmi l… Ou bruit doux des bourgeons tout à… Cela se mariait au rythme sur la g…
Gay passions .. Je suis gay passions . J adore les beaux garçons . Le plaisir de me faire sodomisé . Dans les bars cafés .
Madame, on m’a dit l’autre jour Que j’imitais... qui donc ? devine… Que j’imitais Musset : le tour N’en est pas nouveau, j’imagine. Musset a répondu pour nous :
Fable XVII, Livre V. Polichinelle, à toi nous voilà rev… J’y reviens volontiers, c’est un a… Garçon d’esprit d’ailleurs, dans s… Fertile en mots profonds, des bada…
L’homme de la mer Par de grands vents affolés, A travers des mers déchainées, Un homme se tenait debout, Sa main appuyée sur le genoux.
Au bord de la rivière .. le poète… S est fait sodomisé par deux coqui… Allongé nu sur la serviette . Tu vois .. le poète vient de paye… Le plaisir .. il as sucé le gland…
On carguait lentement les lourdes… Qui poussaient le vaisseau sous le… Et l’Occident brisait ses flèches… Sur leurs rondeurs s’offrant comme… Derrière nous l’effroi de l’infini…
Ô Vénus de Milo, guerrière au fla… Dont le front irrité sous vos divi… Songe, et dont une flamme embrase… Calme éblouissement, grand poème d… Débordement de vie avec art compen…
Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Aimer à treize ans, dites-vous, C’est trop tôt : eh, qu’importe l’… Avez-vous besoin d’être sage Pour goûter le plaisir des fous ? Ne prenez pas pour une affaire
Paix éternelle Cheminant ça et là de l’aube au cr… Entre ciel et terre la vie paraît… Le temps se hâte, sans que l’on pu… Ce soir, c’est une rose délicate q…
Toi et moi ? depuis des décennies… Entre les sourires et les compromi… Entre les colères et la maladie . Les jours heureux dans le grand ja… Et les cadeaux sous le sapin .
Parfois l’historien qui sonde Les grands règnes évanouis, Ou sur les horizons du monde Fixe ses regards éblouis, Voyant dans quelle nuit profonde
En ramassant un fruit dans l’herbe… Chloris vient d’entrevoir la petit… Qui, peureuse, et craignant justem… Dans l’ombre se détend soudain com… Et, rapide, écartant et rapprochan…
C est un article de Georget . C est la rubrique du journal du lu… C est la soucoupe volante .. qui… Dans les marais .. la mère en col… Méditerranée .. combien des radea…
Quand je me suis levée avec le pet… Au coin de la vitre bleutée La lune toute ronde et d’un pâle v… Penchait sa figure effacée. La brume caressait les arbres du l…
C est la belle vie d ailleurs ..… J adore les hommes .. les muscles… Deux mâles complètement nus . Vont se pénétrés sans retenues . Tu vois .. ils viennent d englout…