Dans le parc du vieux château Je marche lentement Pour profiter de ces courts instan… Qui me restent encore Mes pas crissent sur les cailloux
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
Il pleut, nous pleurons,... Vive… Nous sommes le ciel, essayons de l… Nous sommes enfants, essayons de r… Le rire est toujours d’or... ou de… D’or ou de vermeil ! on se tient l…
L’Éden resplendissait dans sa beau… Ève, les yeux fermés encore à la l… Venait d’être créée, et reposait,… L’herbe en fleur, avec l’homme aup… Et, pour le mal futur qu’en enfer…
Laine blanche, crochet, roulés ent… Combien vous ai-je dit de secrets… Combien avez-vous vu de doux rêves… Vous en souvenez-vous ?... Hélas… Quand mon cœur palpitait d’espéran…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
Songes-tu parfois, bien-aimée, Assise près du foyer clair, Lorsque sous la porte fermée Gémit la bise de l’hiver, Qu’après cette automne clémente,
C’est l’hiver en ce mois de janvie… De ma fenêtre, je regarde la neige Qui tombe formée de petits papillo… Ce paysage immaculé me fascine. Je contemple ce manteau irréel qui…
Dompteur à peine né, qui tuais dan… Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de… Qui perças l’Hydre antique au sou… Dans la livide horreur des brumes… Et qui, sous ton œil clair, vis ja…
Je remplirai des bouquins de toi Toute page vide que je trouverai Je t’y dessinerai d’un trait aiman… Tu pourras un jour les feuilleter Et y trouver ton véritable portrai…
Toi qui m’as tout repris jusqu’au… Tu m’as laissé pourtant l’aliment… L’amour ! Et ma mémoire où se nou… Je lui dois le passé ; c’est presq… C’est là que tu m’entends, c’est l…
La douceur est un rayon de soleil qui vient du cœur humain. Il vient sur vous, vous enveloppant comme un voile léger qui vous procure une sensation de bonheur, de calme et de sérénité. ...
Toute la nuit la pluie légère A glissé par jets et par bonds. Viens respirer au bois profond L’odeur de la verdure amère. Ton coeur est triste, morne et las…
Homme dont la tristesse est écrite… Du monde à l’autre, et même aux mu… Forçat de l’hôpital et malade du b… Dormeur maussade, à qui chaque aub… Voyageur douloureux qu’attend la…
Seras-tu de l’amour l’éternelle pâ… À quoi te sert la volonté, Si ce n’est point, ô cœur, pour va… Et dans la paix enfin, plus fort q… T’asseoir sur le désir dompté,
N’a-t-on pas épuisé la coupe de la… Est-il encore des noms qui n’aient… Des malheurs respectés par la foul… Et que n’ait pas frappés la verge… Est-il un citoyen, dans la France…
N’entend-elle jamais une voix me d… Un conseil attendri rappeler son d… Une larme furtive, un feu sous cet… Un reproche d’en haut lui crier :… Moi, je n’y peux courir : sa clame…
(Sur la liaison de la marquise ave… Ainsi donc cent beautés nouvelles Vont fixer vos brillants esprits Vous renoncez aux étincelles, Aux feux follets de mes écrits
Mon cœur tendu de lierre odorant e… Vous êtes un jardin où les quatre… Tenant du buis nouveau, des grappe… Et des pommes de pin, dansent sur… —Sous les poiriers noueux couverts…
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
Oh ! le monde est à moi, puisque e… Figurez-vous ! un soir, plein d’un… Seul, mais seul malgré moi, malheu… Désespéré, songeant avec joie au l… Songeant avec frayeur, peut-être a…
Je t’aime à l’infini. Je ne pense qu’à toi, Tes yeux verts me fascinent, Devant toi je flamboie, Ta splendeur me calcine.
Bonjour, lecteurs. On me propose Et j’accepte, – oh ! les étourdis… De vous parler tous les lundis Et même pas toujours en prose. La causerie est cependant
Une étincelle perla sur ma joue. Elle était si parfaite ! Son éclat me semblait doux Et mettait mon coeur en fête. Jamais je n’aurais cru un jour
Quand je pense à tes yeux et que j… Si seulement je pouvais me souveni… Si notre fin commence maintenant,…
Le temps heureux n’est plus où ray… Où Périclès vivait, étoile du ple… Où les peuples, ardents de force e… Voyant un Dieu partout, sentaient… Le temps, le temps est mort des co…
J’écris ton nom À la surface D’un lac glacé Est-ce que mon cœur Fondra pour un autre
Ai-je dormi ? Quel songe horrible… Oh ! Ces spectres, ces morts, un… Surgis par millions du sol ensangl… Et qui dardaient, dans une ardente… Leurs prunelles farouches !
À Jules Berge. C’est un dimanche soir.—Un large… Étale son argent sur la grève et l… La mer baisse... On entend comme… Dans la rumeur du flot qui jamais…
La nuit, lorsque je dors et qu’un… Arrondit sur le monde une vaine be… Quand les hautes maisons obscures… Ont la paix des tombeaux d’où le s… Il n’est plus, morts dissous, d’in…