Le poète Alain est gay passions… C’est le curé du village . Qui m as fait aimer les hommes . C’était derrière l église .. dans… J avais douze ans .. il avait enl…
Sonnet LVXXXIII. Ne pense, Robertet, que cette Rom… Soit cette Rome-là qui te soulait… On n’y fait plus crédit, comme l’o… On n’y fait plus l’amour, comme on…
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Sonnet LXXXIX. Gordes, il m’est avis que je suis… Comme un qui tout ému d’un effroya… Se réveille en sursaut et par le l… S’émerveillant d’avoir si longtemp…
Chacun sa route .. chacun son des… Chacun sa croix .. chacun son che… Tu vois l ami .. tu parts à la ch… Quand tu reviens .. tu n as plus… Tu cours nu au bord de l étang .
À Charles Keller. Venus des quatre coins de l’horizo… De la cime des pics et du fond des… Les aquilons rageurs sont d’invisi… Qui fouettent sans lanière et qui…
Pierre… À la g… Pour u… Que je… (Berçe…
C’est fou de penser que j’ai connu… Des histoires passionnées, des émo… Mais jamais je n’ai pu poser mes y… Lui, l’homme discret, que je consi… Ça a été toujours lui, le meilleur…
Je ne suis plus enfant : trop lent… Déjà dix-sept printemps ont passé… Je possède une lyre, et cependant… N’en tirent dès longtemps que des… Oh ! quand viendra le jour où, lib…
L’homme vain dit ce qu’il veut fai… L’homme fort dit ce qu’il a fait ; Inconnu, si tu veux me plaire, Révèle-moi ce qui te plaît. Choisis toi-même la manière
Bien loin est un monde trépât Car bien triste est l’Univers san… Bien triste est l’âme qui jamais n… Ô lune, invisible ou toi que je vo… Malheureuse est la Terre sans Sol…
Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…
Ensemble de vestige, ensemble une… Chaque cycle est une musique, une… L’unité est caché, dans la fratern… La solidarité, n’est pas très haut… Un peu désordonné, mais pas trop d…
Il pleut, nous pleurons,... Vive… Nous sommes le ciel, essayons de l… Nous sommes enfants, essayons de r… Le rire est toujours d’or... ou de… D’or ou de vermeil ! on se tient l…
Vous, qui vivez heureux, vous ne s… L’empire que sur moi ces songes po… Mais lorsque je tombais de leur en… A la réalité qui toujours les déme… Si je voulais, luttant contre ma d…
Sonnet. Pour vous, enfants, le monde est u… De leur nid vos vertus, colombes i… Regardent en tremblant les printan… Et cherchent le secret d’y vivre e…
(Épigramme.) Quand quelqu’un dit à une femme Qu’elle est prodigue du corps sien… Il est sot en la haute gamme ; Car ce qu’il dit ne sert de rien :
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
Je ne sais pas si je sais vivre. Plusieurs fois chaque jour je devr… L’instant qui se faufile et fuit, Et désespérément me cramponner à l… Je devrais serrer sur mon cœur
Oh ! le monde est à moi, puisque e… Figurez-vous ! un soir, plein d’un… Seul, mais seul malgré moi, malheu… Désespéré, songeant avec joie au l… Songeant avec frayeur, peut-être a…
Image de la mort, effroi du tendre… Sommeil, emporte au loin ce songe… La mort est dans l’adieu d’un ami… Ah ! ne m’avertis pas que l’on se… Dans ton vol escorté de fantômes l…
Oh ! ne me conduis plus dans ces f… Où les rêves du cœur ne sauraient… Où de la vanité les brillantes ido… Obtiennent des succès qu’un jour d… Dis-moi, pourquoi veux-tu qua ce m…
Je voulais lire le petit prince Car pour ton sourire j’en pince Attention je ne parle pas d’amour Mais d’une douceur comme le velour… Une politesse, un corps magnifique
Sonnet. Tant que vous marcherez sous le so… Par les mauvais chemins poussant l… Ô frères, dont les rois ne savent… Et qui ne savez rien de leurs subt…
Non, ce n’est pas en vous « un idé… C’est vous tout simplement, mon en… Telle Dieu vous a faite, et telle… Et rien ne m’éblouit, ni l’or de v… Ni le feu sombre et doux de vos la…
Quand je me hasarde à descendre Jusques aux bas-fonds du désir, À l’heure où l’on pèse la cendre Que laisse après soi le plaisir ; Ou quand je sonde l’origine
À Suza… J’ai couvert mes plaintes funèbres Sous le voile noir des ténèbres, La nuit a gardé mes ennuis, Le jour mes allégresses feintes ;
Qu’écrire ? Vierge encor la page… Prête à tout elle attend mon capri… La chantante élégie en mon cœur mu… Source qui débordait de la vasque… S’épanchait d’elle-même en vers do…
C est le journal de Cantarelle . Écrire .. où tu peux écrire des mo… Dans la cellule des condamnés . À la naissance d un nouveau né . Au soleil couchant sur la mer roug…
À travers le bois fauve et radieux… Récitant des vers sans qu’on les e… Vont, couverts de pourpre et d’orf… Les Comédiens, rois et demi-dieux… Hérode brandit son glaive odieux ;