Aujourd’hui De Vinci, je crée la… Cette dernière me suit, dans chaqu… A la perte du ciel, je retombe sou… Que je porte droit et fier, jusqu’… Où j y accroche l étoile, phare de…
Le ciel suave était jonché de pâle… Tes yeux tendres au fond de ton la… Rêvaient : tu flottais toute aux p… Et ton coeur, qu’inclinaient d’ine… Le ciel suave était jonché de pâle…
Qui les planta là, dans ces flaque… Au cœur même de ces cloaques ? Aucun ne le sait, mais on croit Au surnaturel de l’endroit. Narguant les ans et les tonnerres,
Grâce au hasard qui sur nous règne… Ici nos pas ont pu se rencontrer. Je pars demain, et pour jamais peu… Dans son caprice il va nous sépare… Si les conseils que ma bouche inco…
Le soleil rôdait encore autour de… Quand on ouvrit la fenêtre Les ivrognes sont toujours là Mais la chanson qui montait à la n… Maintenant quelle voix m’appelle
Cette vie nouvelle Qu’étais-je devenu en ce temps, Un homme rempli d’un mal sévissant… Enfermé par ma nature pécheresse, Causant à d’autres quelques triste…
Vous désirez savoir de moi D’où me vient pour vous ma tendres… Je vous aime, voici pourquoi : Vous ressemblez à ma jeunesse. Vos yeux noirs sont mouillés souve…
Meurtri-e, l’oubli de soi, de son… Des plaies à vif, des pincements a… Depuis de lointaines contrées, san… Imperceptiblement, dans un moment… Un chant sacré se diffusera et cou…
Chanson. Aimons-nous follement ! C’est la chanson, ma mie, Que dit le cœur de ton amant À chaque battement.
Première Voix. La neige tombe à gros flocons ; Par dessus nous, le ciel est noir… La terre, autour de nous, est noir… La lourde neige seule est blanche…
Quand je monte vers la barrière, En laissant la ville en arrière, Quand la rue est près de finir, Un mirage, un décor, un rêve Au bout de mon chemin se lève :
À Luci… Je porte des douleurs plus vieille… Mon cœur est encombré de chagrins… Et je sens quelquefois mon front d… De remords que je sais n’avoir pas…
Vous, qui vivez heureux, vous ne s… L’empire que sur moi ces songes po… Mais lorsque je tombais de leur en… A la réalité qui toujours les déme… Si je voulais, luttant contre ma d…
Reliées par la mer On se rencontre très petites Puis sur les vagues on erre Cherchant notre pépite Tu es attirée par les phares
Dans la cour au couchant Les cris perdus sous les marques d… ou la campagne Cette face tranquille et vaste La nuit qui se cache
Tandis qu’un reste d’ombre obscurc… Et que la brume encore enveloppe l… Derrière la montagne aux cimes den… Le soleil surgit radieux. C’est lui, c’est le soleil ! Éveil…
Profond désespoir Après ces moments dont j’ai tant p… Il me semble qu’un mélancolie soit… Après ces joies qui m’étaient plei… C’est de tristes sentiments qui vi…
Désirer sans espoir, Regarder sans rien voir, Se nourrir de ses larmes, S’en reprocher les charmes, S’écrier à vingt ans :
Alors que finissait la journée est… Nous marchions, toi pendue à mon b… À ces mondes lointains dont je par… Aussi regardais-tu chaque étoile e… Au retour, à l’endroit où la côte…
Saison fidèle aux cœurs qu’importu… Te voilà, chère Automne, encore d… La feuille quitte l’arbre, éclatan… Dans les forêts à jour. Les aboiements des chiens de chass…
Quand je vais triste et seule, et… Je suis quelque nuage errant sur l… Et, comme ces draps noirs qu’on me… Couvrant des boulevards les arbres… Lorsqu’au bourdonnement de ce chao…
Qui je suis Toi mon amie tu me connais depuis… Mais au fond, tu ne me connais pas… Tu m’a toujours trouvé une âme épa… Qui demeurait heureuse et qui sour…
Dans le parc aux lointains voilés… Les grands arbres d’où tombe avec… L’adieu des feuilles d’or parmi la… Sous le ciel pâlissant comme de la… Nous irons, si tu veux, jusqu’au s…
Au soleil de midi le haut glacier… Un nuage léger court sur ses flots… Et drape le sommet qui forme sa co… Sans plus se soucier des rocs qu’e… Sur la neige marchant, par des pen…
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Quand je vous dis, Dieu vous béni… Je n’entends pas le créateur, Dont la main féconde et propice Vous donna tout pour mon bonheur ; Encor moins le dieu d’hyménée,
Sonnet. Ô Rhin, sais-tu pourquoi les amant… Abandonnant leur âme aux tendres r… Par tes bois verdoyants, par tes l… S’en vont par leur folie incessamm…
Entouré de magie, tu vois le préci… Celui des ornements, des chemins d… Ou les cailloux brille, où les ois… Celui des anges blancs, descendu d… Pour annoncer la vie, projette l’a…
Ô jeunesse, fervent et clair foyer… Tu fais au ciel l’aveu sonore de t… Et ta flamme, luttant d’éclat avec… Aux quatre vents, pareille à la C… Mais tu n’as pas plus tôt brillé d…
Un rimeur de couplets comiques, De la folle et vive chanson Aux oreilles académiques A fait la funèbre oraison. Ingrat, à peine à son aurore,