Meurtri-e, l’oubli de soi, de son âme.
Des plaies à vif, des pincements au coeur, des entailles perçantes, des visages blêmes.
Depuis de lointaines contrées, sans retenue, se peint l’ espoir du renouveau.
Imperceptiblement, dans un moment de flottement, se fermera le tiroir de l’inertie.
Un chant sacré se diffusera et coulera dans mes veines
Une flèche bénie s’envolera et touchera mon ciel
Une clé inventive fermera mes fractures et ouvrira un portail
Un fil d’or recollera mes berges délabrées par le chagrin
Ils émettront une vibration si particulière, laissant dans mon âme une marque indélébile.