#ÉcrivainsFrançais
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte
Sur la lune s’inscrit Un mot La lettre la plus grande en haut Elle est humide comme un œil
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
La bande roule aux mains des plus… Celui qui tient la corde serre bie… Il s’agit d’entrer Une ombre dans l’angle du couloir… Le silence file le long du mur
La lueur plus loin que la tête Le saut du cœur Sur la pente où l’air roule sa voi… Au carrefour près du talus une prière
Il est tapi dans l’ombre et dans le froid pendant l’hiver. Quand le vent souffle il agite une petite flamme au bout des doigts et fait des signes entre les arbres. C’est un vieil homme ...
Après la charge, après la ronde je… Un autre soldat que moi dort dans… Quand je me réveille, en sursaut,… Le même cauchemar qui nous unissai…
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Sur le seuil personne Ou ton ombre Un souvenir qui resterait La route passe Et les arbres parlent plus près
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
En face de mon œil la corne du cro… Au bout d’un plus long bras Que toutes les fenêtres s’éclairen… Que la lune frappe plus fort aux v… Que les plaques de plâtre avec les…