#ÉcrivainsFrançais
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
Les mains levées vers un point où… robuste Qui se vengera Même si tout retombe au silence po… Et moi sans être battu ni vainqueu… Derrière le porte-manteau mobile c…
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
Apres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre. Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, seulement permis et promis, t...
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
Où iront-ils chercher tout ce qu’i… Le ciel plisse son front Prépare une tempête Les autres sont là pour la fête Et les astres tendent des fils
Des lignes trop usées par les rigu… La flaque d’eau sous la gouttière Le reflet timide qui danse Et la nuit qui descend Aucun essor
C’est dans ce carré de ciel plus clair qu’on allumera les étoiles pour le feu d’artifice. Par-dessus la hauteur des arbres—des mouvements de vent, des bruits d’orage—des appels menaçant...
La rue est toute noire et la saison n’a pas laissé de traces. J’aurais voulu sortir et l’on retient ma porte. Pourtant là-haut quelqu’un veille et la lampe est éteinte. Tandis que les b...
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Quand les premiers furent passés et que l’on attendait encore. Quand les derniers furent passés et que l’on n’entendit plus rien. La dernière étoile résistait au matin et tu ne pouvais ...
En attendant que la nuit sonne L’escalier reconnu Ou l’aile réveillée Le vent sur les oreilles A l’abri du mur
Les voiles blancs s’effacent décou… L’eau s’agite dans les ornières Derrière le bois les champs et la… Les cheminées jouent au ballon dès… Le soleil monte et redescend
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…