Prose
#ÉcrivainsFrançais
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
Sur la lune s’inscrit Un mot La lettre la plus grande en haut Elle est humide comme un œil
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Il a chassé la lune, il a laissé l… Derrière les trembles un étrange p… Rien ne se prend, mais il emplit s… Mais un autre attendait plus loin…
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Vision bariolée et délicate dans sa tête, tu fuis la mienne. Il possède les astres et les animaux de la terre, les paysans et les femmes pour s’en servir. L’Océan l’a bercé, moi la mer,...
S’il se soulève quand je passerai près de lui ; s’il pleure quand viendra la nuit, s’il ne crie pas ? J’aurai cru le voir et ce sera fini. Plusieurs heures de chemin dans un sentier où ...
La fenêtre Un trou vivant où l’éclair bat Plein d’impatience Le bruit a percé le silence On ne sait plus si c’est la nuit
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Une ligne au diapason Mon regard Le battement de mes artères Je file incognito Et l’on voit venir la lumière
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
Le clou est là Retient la pente Le lambeau clair au vent soulevé c… et celui qui comprend Tout le chemin est nu les pavés le…
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...