Belle dont les yeux doucement m’on… Par un doux regard qu’au cœur ils… Et m’ont en un roc insensible mué En mon poil grison, Que j’estois heureux en ma jeune s…

À mon retour (eh ! je m’en désespè… Tu m’as reçu d’un baiser tout glac… Froid, sans saveur, baiser d’un tr… Tel que Diane en donnait à son fr… Tel qu’un fille en donne à sa gran…

VIII. « II ne faut s’ébahir, disaient c… Dessus le mur Troyen, voyants pas… Si pour telle beauté nous souffron… Notre mal ne vaut pas un seul de s…

Le vintieme d’Avril couché sur l’… Je vy, ce me sembloit, en dormant… Qui ça, puis là, marchoit où le me… Foulant les belles fleurs de maint… Une corne et une autre encore nouv…

Ô fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source Fuyantes le Satyreau,

Bonjour mon coeur, bonjour ma douc… Bonjour mon oeil, bonjour ma chère… Hé ! bonjour ma toute belle, Ma mignardise, bonjour, Mes délices, mon amour,

Marie, que je sers en trop cruel d… Quand d’un baiser d’amour votre bo… Je suis tout éperdu, tant le coeur… Entre vos doux baisers puissé-je p… Il sort de votre bouche un doux fl…

Ô pucelle plus tendre Qu’un beau bouton vermeil Que le rosier engendre Au lever du soleil, D’une part verdissant

Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer

Douce Maîtresse, touche, Pour soulager mon mal, Ma bouche de ta bouche Plus rouge que coral ; Que mon col soit pressé

Laisse-moi sommeiller, Amour ! Ne te suffit-il que de jour Les yeux trop cruels de ma dame Me tourmentent le corps et l’âme, Sans la nuit me vouloir ainsi

Nuit, des amours ministre et serge… Des arrêts de Venus, et des saint… Qui secrète accompagne L’impatient ami de l’heure accoutu… Ô l’aimée des Dieux, mais plus enc…

Je veus lire en trois jours l’Ili… Et pour-ce, Corydon, ferme bien l… Si rien me vient troubler, je t’as… Tu sentiras combien pesante est ma… Je ne veus seulement que nostre ch…

Vous triomphez de moi, et pour ce,… Ce Lierre qui coule et se glisse… Des arbres et des murs, lesquels,… Plis dessus plis, il serre, embras… A vous, de ce Lierre appartient l…

Marie, levez-vous, ma jeune paress… Là, la gaie alouette au ciel a fre… Et là le rossignol doucement jargo… Dessus l’épine assis, sa complaint… Sur ! debout ! allons voir l’herbe…