Poésies diverses
#ÉcrivainsFrançais
Stance. Que vous sert-il de me charmer ? Aminte, je ne puis aimer Où je ne vois rien à prétendre ; Je sens naître et mourir ma flamme…
Sonnet. Sous ce marbre repose un monarque… Dont la seule bonté déplut aux bon… Et qui pour tout péché ne fit qu’u… Dont il fut trop longtemps innocem…
Stance. J’ai vu la peste en raccourci : Et s’il faut en parler sans feindr… Puisque la peste est faite ainsi, Peste, que la peste est à craindre…
Je pense à vous voir tant d’attrai… Qu’Amour vous a formée exprès Pour faire que sa fête on chôme, Car vous en avez une somme Bien dangereuse à voir de près.
Madrigal Au soleil. Bel astre à qui je dois mon être e… Ajoute l’immortalité A l’éclat non pareil dont je suis… Empêche que le temps n’efface mes…
Traduites du latin d’Audoenus (Ow… LIV. I, . Ép. 30. Jeanne, toute la journée, Dit que le joug d’hyménée Est le plus âpre de tous ;
Ce texte est une traduction de… anonyme de piété chrétienne de la… (Que la vérité parle au dedans du… Parle, parle, Seigneur, ton servi… Je dis ton serviteur, car enfin je…
Sonnet. Je vous estime, Iris, et crois po… Permettre à mon respect un aveu si… Il est vrai qu’à chaque moment Je songe que je vous estime.
Stance. Caliste, lorsque je vous vois, Dirai-je que je vous admire ? C’est vous dire bien peu pour moi, Et peut-être c’est trop vous dire.
Madrigal. Mes deux mains a l’envi disputent… Et dans leurs sentiments jaloux Je ne sais ce que j’en dois croire… Philis, je m’en rapporte à vous,
Sonnet. Croissez, jeune héros ; notre doul… N’a que ce doux espoir qui la puis… Croissez, et hâtez-vous de faire v… Que le plus noble sang peut encor…
Enfin échappé du danger Où mon sort me voulut plonger, L’expérience indubitable Me fait tenir pour véritable Que l’on commence d’être heureux
Ce n’est donc pas assez ; et de la… Ariste, c’est en vers qu’il vous f… Et la mienne pour vous n’en plaint… Cent vers lui coûtent moins que de… Son feu ne peut agir quand il faut…
J’ai fait autrefois de la bête, J’avais des Philis à la tête, J’épiais les occasions, J’épiloguais mes passions, Je paraphrasais un visage.
(Au Révérend Père Delidel de la… Jésus, sur son traité de la Théol… Toi qui nous apprends de la Grâce Quelle est la force et la douceur, Comme elle descend dans un cœur,