"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai p… Je ne te connais point et je t’aim… Je me chargerais mal de ton nom di… Et si j’ai quelque droit d’être en… C’est que, d’abord, et c’est qu’ai…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Dieu, nous voulant amis parfaits,… Gais de cette gaîté qui rit pour e… De ce rire absolu, colossal et sup… Qui s’esclaffe de tous et ne bless… Tous deux nous ignorons l’égoïsme…
Ô toi triomphante sur deux « Rivales » (pour dire en haut sty… Tu fus ironique,—elles... feues— Et n’employas d’effort subtil Que juste assez pour que tu fus—
Que ton âme soit blanche ou noire, Que fait ? Ta peau de jeune ivoir… Est rose et blanche et jaune un pe… Elle sent bon, ta chair, perverse Ou non, que fait ? puisqu’elle ber…
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, Plus clairs que l’étoile des cieux… J’aimais ses yeux malicieux. Dansons la gigue !
Je ne suis plus de ces esprits phi… Et ce n’est pas de morale que tu t… Deux admirables conditions pour l’… Tel que nous l’entendrons, c’est-à… Aucun de bête convenance ou de lim…
Pourquoi triste, ô mon âme Triste jusqu’à la mort, Quand l’effort te réclame, Quand le suprême effort Est là qui te réclame ?
(À Villiers de l’Isle-Adam) Dans un palais, soie et or, dans… De beaux démons, des satans adoles… Au son d’une musique mahométane, Font litière aux Sept Péchés de l…