"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Cuisses grosses mais fuselées. Tendres et fermes par dessous, Dessus d’un dur qui serait doux, Musculeuses et potelées, Cuisses si bonnes tant baisées
Ô Belgique qui m’as valu ce dur lo… Merci ! J’ai pu du moins réfléchi… Dans le silence doux et blanc de t… Les raisons qui fuyaient comme des… À travers les roseaux bavards d’un…
Maintenant, au gouffre du Bonheur… Mais avant le glorieux naufrage Il faut faire à cette mer en rage Quelque sacrifice et quelque honne… Jettes-y, dans cette mer terrible,
Le soleil du matin doucement chauf… Les seigles et les blés tout humid… Et l’azur a gardé sa fraîcheur de… L’on sort sans autre but que de so… Le long de la rivière aux vagues h…
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Dieu vit au sein d’un cœur caché, Non d’un esprit épars, en milliers… En millions de mots hardis comme d… A tous les vents du ciel ou plutôt… Et d’un scandale tel, précisément…
Mon ami, ma plus belle amitié, ma… —Les morts sont morts, douce leur… Laisse-moi te le dire en toute vér… Tu vins au temps marqué, tu parus… Tu parus sur ma vie et tu vins dan…
Cette vallée est triste et grise :… Pèse sur elle ; L’horizon est ridé comme un front… Oiseau, gazelle, Prêtez-moi votre vol ; éclair, emp…
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…
Belle « à damner les saints », à t… Un vieux juge! Elle marche impéri… Elle parle—et ses dents font un mi… Italien, avec un léger accent russ… Ses yeux froids où l’émail sertit…
Comme la voix d’un mort qui chante… Du fond de sa fosse, Maîtresse, entends monter vers ton… Ma voix aigre et fausse. Ouvre ton âme et ton oreille au so…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand coeur et la gl… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…