"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Chez mes pays, qui sont rustiques Dans tel cas simplement pieux, Voire un peu superstitieux, Entre autres pratiques antiques, Sur la tête du paysan,
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Ayant poussé la porte étroite qui… Je me suis promené dans le petit j… Qu’éclairait doucement le soleil d… Pailletant chaque fleur d’une humi… Rien n’a changé. J’ai tout revu :…
Une Sainte en son auréole, Une Châtelaine en sa tour, Tout ce que contient la parole Humaine de grâce et d’amour ; La note d’or que fait entendre
Tendre, la jeune femme rousse, Que tant d’innocence émoustille, Dit à la blonde jeune fille Ces mots, tout bas, d’une voix dou… « Sève qui monte et fleur qui pous…
Dieu, nous voulant amis parfaits,… Gais de cette gaîté qui rit pour e… De ce rire absolu, colossal et sup… Qui s’esclaffe de tous et ne bless… Tous deux nous ignorons l’égoïsme…
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Immédiatement après le salut sompt… Le luminaire éteint moins les seul… Les psaumes pour les morts sont di… Par les clercs et le peuple saisi… Un glas lent se répand des clocher…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand cœur et la glo… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
L’immensité de l’humanité, Le Temps passé vivace et bon père… Une entreprise à jamais prospère : Quelle puissante et calme cité ! Il semble ici qu’on vit dans l’his…
Vos narines qui vont en l’air, Non loin de vos beaux yeux quelcon… Sont mignonnes comme ces conques Du bord de mer de bains de mer ; Un sourire moins franc qu’aimable
J’allais par des chemins perfides, Douloureusement incertain. Vos chères mains furent mes guides… Si pâle à l’horizon lointain Luisait un faible espoir d’aurore…
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,