"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Sagesse d’un Louis Racine, je t’e… Ô n’avoir pas suivi les leçons de… N’être pas né dans le grand siècle… Quand le soleil couchant, si beau,… Quand Maintenon jetait sur la Fra…
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Parfois je sens, mourant des temps… Mon immense douleur s’enivrer d’es… En vain l’heure honteuse ouvre des… En vain bâillent sous nous les dés… Pour engloutir l’abus de notre âpr…
Je crois ce que l’Église catholiqu… M’enseigna dès l’âge d’entendement… Que Dieu le Père est le fauteur u… Et le régulateur absolument De toute chose invisible et visibl…
Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire… Elle est discrète, elle est légère… Un frisson d’eau sur de la mousse… La voix vous fut connue (et chère…
Couché dans l’herbe pâle et froide… Sous les ifs et les pins qu’argent… Ou bien errant, semblable aux form… Le rêve, par l’horreur du paysage… Tandis qu’autour, pasteurs de trou…
J’ai dit à l’esprit vain, à l’oste… L’Ilion de l’orgueil futile, le S… De la frivolité sans cœur et sans… La citadelle enfin du Faux : « Croulez, murailles
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents
Je vous ai promis mon baiser pour… En revanche vous m’avez promis la… Certes imméritée, et voici que j’y… Et depuis lors je vis en un si dou… Mais que pour l’avenir serait donc…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…