Toi qui fais rêver, ô brune
Toi qui fais rêver, ô brune
Si pâle, de clair de lune ;
Des heures blanches et lentes
Où les colombes lamentent ;
Le jour efface la lune,
Les blondes se rient des brunes.
Je t’ai onze jours aimée :
L’amour, n’est-ce pas fumée ?