Les Hommes et leurs animaux
"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
L’oreille du taureau à la fenêtre Et la lumière d’aujourd’hui le pri… Sur la paille du vaincu sur l’or d… Sur la table au niveau du vin dans… L’œil qui saisit la bouche et l’em…
Le chat s’établit dans la nuit pou… Dans l’air libre, dans la nuit, le… Et, triste, à hauteur d’homme, l’h…
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux
J’ai la beauté facile et c’est heu… Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Plus c’était un baiser Moins les mains sur les yeux Les halos de lumière Aux lèvres de l’horizon Et des tourbillons de sang
Pour ne poser qu’un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse.
Soleil de proie prisonnier de ma t… Enlève la colline, enlève la forêt… Le ciel est plus beau que jamais. Les libellules des raisins Lui donnent des formes précises
Au soir de la folie, nu et clair, L’espace entre les choses a la for… La forme des paroles d’un inconnu, D’un vagabond qui dénoue la ceintu… Et qui prend les échos au lasso.
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander