#ÉcrivainsFrançais
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Où la vie se contemple tout est su… Monté les couronnes d’oubli Les vertiges au cœur des métamorph… D’une écriture d’algues solaires L’amour et l’amour.
La rosée la pluie la vague la barq… La reine servante Médieuse La perle la terre Perle refusée terre consentante
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues
Sous un soleil ressort du paysage Une femme s’emballe Frise son ombre avec ses jambes Et d’elle seule espère les espoirs… Je la trouve sans soupçons sans au…
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
L’alarme matérielle où, sans excus… C’est bien : presque insensible.… Aucun étonnement, une femme ou un… Leurs yeux se sont levés plus tôt… *
J’ai la beauté facile et c’est heu… Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur