"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur
Le chat s’établit dans la nuit pou… Dans l’air libre, dans la nuit, le… Et, triste, à hauteur d’homme, l’h…
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...
Bouches gourmandes des couleurs Et les baisers qui les dessinent Flamme feuille l’eau langoureuse Une aile les tient dans sa paume Un rire les renverse.
D’une seule caresse Je te fais briller de tout ton écl…
Si je te parle c’est pour mieux t’… Si je t’entends je suis sûr de com… Si tu souris c’est pour mieux m’en… Si tu souris je vois le monde enti… Si je t’étreins c’est pour me cont…
Un bel oiseau me montre la lumière Elle est dans ses yeux, bien en vu… Il chante sur une boule de gui Au milieu du soleil. ***
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
Je me suis séparé de toi Mais l’amour me précédait encore Et quand j’ai tendu les bras La douleur est venue s’y faire plu… Tout le désert à boire