"Le Devoir et l'Inquiétude"
#ÉcrivainsFrançais
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
L’araignée rapide, Pieds et mains de la peur, Est arrivée. L’araignée, Heureuse de son poids,
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Bercée de chair frémissante pâture Sur les rives du sang qui déchiren… Le sang nocturne l’a chassée Échevelée la gorge prise aux abus… Victime abandonnée des ombres
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé
Amour des fantaisies permises, Du soleil, Des citrons, Du mimosa léger. Clarté des moyens employés :
À l’aventure, en barque, au nord. Dans la trompette des oiseaux Les poissons dans leur élément. L’homme qui creuse sa couronne Allume un brasier dans la cloche,
Comme il fait moins froid ce soir… Et comme les étoiles brillent ! Il fera beau demain matin Dessus l’avenue de Versailles. Il fera beau...
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
La valse est jolie, Les grands élans du cœur le sont a… Rues, Une roue valsait éperdument. Des roues, des robes, des chapeaux…
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
Des ailes, des ailes, des ailes Comme dans le chant de Ruckert. Théophile Gautier. Devant mourir, les roses sont plus… Et les oiseaux ont des chants bien…
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
Ferme les yeux visage noir Ferme les jardins de la rue L’intelligence et la hardiesse L’ennui et la tranquillité Ces tristes soirs à tout moment