Les Animaux et leurs hommes
"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
Une mouche sur sa main. Le soleil, pour l’empêcher de s’envoler, plante des aiguilles autour d’elle. Le soleil attire les hirondelles atteintes de ces affreuses maladies de peau qui déf...
Ramassez sous les chênes les tache… suivez en barque les troupeaux des… contemplez avec des cailloux dans… divisez en dansant le claquement d… voyez les femmes, à quarante ans,…
Les bêtes qui descendent des faubo… Les oiseaux qui secouent leurs plu… Les terribles ciels jaunes, les nu… Ont, en toute saison, fêté cette s… Elle est belle, statue vivante de…
C’est un restaurant comme les autres. Faut-il croire que je ne ressemble à personne ? Une grande femme, à côté de moi, bat des œufs avec ses doigts. Un voyageur pose ses vêtements sur u...
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
Sourire aux visiteurs Qui sortent de leur cachette Quand elle sort elle dort. Chaque jour plus matinale Chaque saison plus nue
Comme il fait moins froid ce soir… Et comme les étoiles brillent ! Il fera beau demain matin Dessus l’avenue de Versailles. Il fera beau...
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.