"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
Sous un soleil ressort du paysage Une femme s’emballe Frise son ombre avec ses jambes Et d’elle seule espère les espoirs… Je la trouve sans soupçons sans au…
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
À l’aventure, en barque, au nord. Dans la trompette des oiseaux Les poissons dans leur élément. L’homme qui creuse sa couronne Allume un brasier dans la cloche,
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Suis-je autre chose que ta force ? Ta force dans tes bras, Ta tête dans tes bras, Ta force dans le ciel décomposé, Ta tête lamentable,
Sommeil léger, petite hélice, Petite, tiède, cœur à l’air. L’amour de prestidigitateur, Ciel lourd des mains, éclairs des… Courant dans la rue sans couleurs,
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé
Dans le royaume des coiffeurs, les heureux ne perdent pas tout leur temps à être mariés. Au-delà de la coquetterie des guéridons, les pattes des canards abrègent les cris d’appel des da...
Ferme les yeux visage noir Ferme les jardins de la rue L’intelligence et la hardiesse L’ennui et la tranquillité Ces tristes soirs à tout moment
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Un mur dénonce un autre mur Et l’ombre me défend de mon ombre… Ô tour de mon amour autour de mon… Tous les murs filaient blanc autou… Toi, que défendais-tu ? Ciel inse…