"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
Habitude de marcher, Habitude de courir, Terre couverte et découverte, Plus petite qu’un empire, Bien étendue,
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
L’heure qui tremble au front du te… Un bel oiseau léger plus vif qu’un… Traîne sur un miroir un cadavre sa… Des boules de soleil adoucissent s… Et le vent de son vol affole la lu…
La petite chérie arrive à Paris. Paris fait du bruit. Paris fait d… La petite chérie traverse la rue. La bruit tombe en pluie. La bruit… La petite chérie est sur le trotto…
La droite laisse couler du sable. Toutes les transformations sont po… Loin, le soleil aiguise sur les pi… La description du paysage importe… Tout juste l’agréable durée des mo…
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Ce n’est pas la nuit, c’est la lun… Et tu me parles d’eux. Ils ornent… Mon ami, ils sont trop : père, mèr… Pourtant, ton rêve est calme, et j…
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
Caresse l’horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l’aube recouvre de chair. Il mettrait dans tes yeux des pensées innocentes, des flammes, des ailes et des verdures que le solei...
Si vous désirez la lourde chair, Arrachez les bras, les mains et le… Déchirez les branches Qui contenaient le ciel, l’espace. Et vous tombez, c’est votre poids.
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Un oiseau s’envole, II rejette les nues comme un voil… II n’a jamais craint la lumière, Enfermé dans son vol, II n’a jamais eu d’ombre.
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.