"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Courir et courir délivrance Et tout trouver tout ramasser Délivrance et richesse Courir si vite que le fil casse Au bruit que fait un grand oiseau
Où la vie se contemple tout est su… Monté les couronnes d’oubli Les vertiges au cœur des métamorph… D’une écriture d’algues solaires L’amour et l’amour.
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d’aigui… Jours de paupières closes à l’hori… D’heures toutes semblables, jours… Mon esprit qui brillait encore sur…
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Soleil tremblant Signal vide et signal à l’éventail… Aux caresses unies d’une main sur… Aux oiseaux entr’ouvrant le livre… Et d’une aile après l’autre entre…
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
Pendant qu’il est facile Et pendant qu’elle est gaie Allons nous habiller et nous désha…
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.