"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
La photographie : un groupe. Si le soleil passait, Si tu bouges. Fards. À l’intérieur, blanche et v… Dans le tunnel.
La plate volupté et le pauvre myst… Que de n’être pas vu. Je vous connais, couleur des arbre… Entre nous est la transparence de… Entre les regards éclatants.
« Le mal, c’est comme les enfants,… Par ce temps qui délabre tout, as-… et que l’eau qui tombe entre nous…
Soleil de proie prisonnier de ma t… Enlève la colline, enlève la forêt… Le ciel est plus beau que jamais. Les libellules des raisins Lui donnent des formes précises
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Un oiseau s’envole, II rejette les nues comme un voil… II n’a jamais craint la lumière, Enfermé dans son vol, II n’a jamais eu d’ombre.
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.
Nous deux nous tenant par la main Nous nous croyons partout chez nou… Sous l’arbre doux sous le ciel noi… Sous tous les toits au coin du feu Dan la rue vide en plein soleil
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
La rivière que j’ai sous la langue… L’eau qu’on imagine pas, mon petit… Et, les rideaux baissés, parlons.
Si vous désirez la lourde chair, Arrachez les bras, les mains et le… Déchirez les branches Qui contenaient le ciel, l’espace. Et vous tombez, c’est votre poids.