"Poésie et vérité"
#ÉcrivainsFrançais
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.
Un prêtre de taille moyenne a enfermé sa jeune et jolie femme au solide bon sens dans un lieu discret pour se soustraire aux discussions interminables qui ralentissaient leur coït famil...
L’alarme matérielle où, sans excus… C’est bien : presque insensible.… Aucun étonnement, une femme ou un… Leurs yeux se sont levés plus tôt… *
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
Une seule corde une seule torche u… Étrangla DIX hommes Brûla un village Avillit un peuple La douce chatte installée dans la…
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille
Aveugle maladroit, ignorant et lég… Aujourd’hui pour oublier, Le mois prochain pour dessiner Les coins de rue, les allées à per… Je les imite pour m’étendre
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé
Si je vous dis : « j’ai tout aband… C’est qu’elle n’est pas celle de m… Je ne m’en suis jamais vanté, Ce n’est pas vrai Et la brume de fond où je me meus
Au milieu d’une île étonnante Que ses membres traversent Elle vit d’un monde ébloui. La chair que l’on montre aux curie… Attend là comme les récoltes