"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Nous deux nous tenant par la main Nous nous croyons partout chez nou… Sous l’arbre doux sous le ciel noi… Sous tous les toits au coin du feu Dan la rue vide en plein soleil
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Trente filles au corps opaque, trente filles divinisées par l’imagination, s’approchent de l’homme qui repose dans la petite vallée de la folie. L’homme en question joue avec ferveur. I...
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
Et la liane verte et bleue qui joi… Le vent à la grande figure Les épargne. Avalanche, à travers… La lumière, nuée d’insectes, vibre… Miracle dévêtu, émiettement, ruptu…
Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d’aigui… Jours de paupières closes à l’hori… D’heures toutes semblables, jours… Mon esprit qui brillait encore sur…
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Une mouche sur sa main. Le soleil, pour l’empêcher de s’envoler, plante des aiguilles autour d’elle. Le soleil attire les hirondelles atteintes de ces affreuses maladies de peau qui déf...
Le chat s’établit dans la nuit pou… Dans l’air libre, dans la nuit, le… Et, triste, à hauteur d’homme, l’h…
Sommeil léger, petite hélice, Petite, tiède, cœur à l’air. L’amour de prestidigitateur, Ciel lourd des mains, éclairs des… Courant dans la rue sans couleurs,
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié