Hélas ! Je devrais le haïr ! Il m’a rendu le mal de l’âme, Ce mal plein de pleurs et de flamm… Si triste, si lent à guérir ! Hélas ! Je devrais le haïr.

Quand je touche rêveuse à ces feui… D’où montent les parfums des divin… Prise par tout mon corps d’un long… Je m’incline, et j’écoute avec sai… Ô fièvre poétique ! ô sainte malad…

L’année avait trois fois noué mon… Et modelé ma forme en y broyant se… Et trois fois de ma mère acquitté… Quand le Banc de la tienne éclata… Eut dès lors sa promise et l’attir…

J’ai voulu ce matin te rapporter d… Mais j’en avais tant pris dans mes… Que les nœuds trop serrés n’ont pu… Les nœuds ont éclaté. Les roses,… Dans le vent, à la mer s’en sont t…

Viens, si tu veux rêver d’amour, Viens tresser ta couronne au fond… Voici l’heure, hâtons-nous, ô ma j… Les songes dans les fleurs se cach… De leurs frêles prisons vont sorti…

Ma demeure est haute, Donnant sur les cieux ; La lune en est l’hôte, Pâle et sérieux : En bas que l’on sonne,

Seule avec toi dans ce bocage somb… Qu’y ferions-nous ? à peine on peu… Nous sommes bien ! Peux-tu désire… Pour se perdre des yeux c’est bien… Auprès de toi j’adore la lumière,

Si l’enfant sommeille, Il verra l’abeille, Quand elle aura fait son miel, Danser entre terre et ciel. Si l’enfant repose,

Oh ! de l’air ! des parfums ! des… Il semble que les fleurs alimenten… Mais elles vont mourir.... Ah ! j… Mourir jeune, au soleil, Dieu ! q… Pour éteindre une fleur il faut mo…

Heureuses pastourelles, Qui cherchez, sous l’ormeau, Des lits de fleurs nouvelles Et la fraîcheur de l’eau, Par vos danses légères,

Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .

T’ai-je vu chez mon père, Dans l’âge où tout est beau, Comme je dois, j’espère, Te voir près du tombeau ? Sur les bords de ma vie

J’ai rencontré sur la terre où je… Plus d’un abîme où je tombais, sei… Lors, d’un long cri j’appelais dan… Mon Dieu, mon père, ou quelque an… Doux et penché sur l’abîme funeste…

Je ne veux pas dormir. Ô ma chère… Quel sommeil aurait ta douceur ? L’ivresse qu’il accorde est souven… Et la tienne est réelle, ineffable… Quel calme ajouterait au calme que…