Romances (1830)
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Qu’a-t-on fait du bocage où rêva m… Oh ! je le vois toujours ! j’y vou… Au milieu des parfums j’y dormais… Et le soleil sur lui versait des r… Peut-être qu’à cette heure il colo…
C’était l’hiver, et la nature enti… Portait son deuil et redoublait le… Je regagnais à pas lents ma chaumi… Les yeux fixés sur celle de Julie… Un voile noir s’étendit sur la pla…
Sur ce lit de roseaux puis-je dorm… Je sens l’air embaumé courir autou… Ta bouche est une fleur dont le pa… Approche, ô mon trésor, et ne brûl… Éveille, éveille-toi !
Un ami me parlait et me regardait… Alors, c’était mourir... mon jeune… De l’orage enfermé dont la foudre… Et cet ami riait, car il était moq… Il n’avait pas d’aimer la funeste…
S’il avait su quelle âme il a bles… Larmes du coeur, s’il avait pu vou… Ah ! si ce coeur, trop plein de sa… De l’exprimer eût gardé le pouvoir… Changer ainsi n’eût pas été possib…
Je ne dis rien de toi, toi, la plu… Toi, la plus douloureuse, et non l… Toi, rentrée en mon sein ! je ne d… Qui soufres, qui te plains, et qui… Le sais-tu maintenant, ô jalouse a…
Le printemps est si beau ! Sa cha… Descend au fond des cœurs réveillé… Une voix qui dormait, une ombre ac… Redemande l’amour à nos sens atten… La raison vainement à ce danger s’…
Je n’ai vu qu’un regard de cette b… À travers le volet qui touche à vo… Ma soeur, et sur la vitre où passa… Ce fut l’adieu d’un ange obtenu pa… Et dans la rue encore on dirait, q…
De Thalie, Plus jolie, Quand Mars enchante les jeux, Cette Muse Qui s’amuse
Adieu, douce pensée, Image du plaisir ! Mon âme est trop blessée, Tu ne peux la guérir. L’espérance légère
À Mademoiselle Louise Crombach… Vous le saurez ! La vie a des abî… Cachés au loin sous d’innombrables… Les rossignols qui chantent à leur… Où chantent-ils dans la saison des…
Mon saint amour ! Mon cher devoir… Si Dieu m’accordait de te voir, Ton logis fût-il pauvre et noir, Trop tendre pour être peureuse, Emportant ma chaîne amoureuse,
Il a parlé. Prévoyante ou légère, Sa voix cruelle et qui m’était si… A dit ces mots qui m’atteignaient… « Vous qui savez aimer, ne m’aimez… « Ne m’aimez pas si vous êtes sens…
Vous surtout que je plains si vous… Vous surtout qui souffrez, je vous… C’est à vous qu’elles vont, mes le… Et de mes pleurs chantés les amère… Prisonnière en ce livre une âme es…
Quand je ne te vois pas, le temps… A je ne sais quel poids impossible… Je sens languir mon cœur, qui cher… Et ma tête se penche, et je souffr… Quand ta voix saisissante atteint…