A ma belle patrie Fais mes adieux, Amour ; La reverrai-je un jour, Cette France chérie ? Toi qui m’as su charmer,

Beau fantôme de l’innocence, Vêtu de fleurs, Toi qui gardes sous ta puissance Une âme en pleurs ! Ô toi qui devanças nos hontes

Embellissez ma triste solitude, Portrait chéri, gage d’un pur amou… Charmez encor ma sombre inquiétude… Trompez mon cœur jusques à son ret… Si quelquefois, de mes lèvres trem…

Désirer sans espoir, Regarder sans rien voir, Se nourrir de ses larmes, S’en reprocher les charmes, S’écrier à vingt ans :

Non ! je ne verrai plus de si bell… Que celle où sur tes pas je descen… Où l’eau, parmi les fleurs lenteme… Trouve une eau qui la cherche et s… J’étais bien ! tout parlait à mon…

Ouvre ton aile au vent, mon beau r… Laisse à mes doigts brisés ton ann… Tu n’as que trop pleuré ton élémen… Sois heureux comme lui : sauve-toi… Que tu montes la nue, ou que tu ra…

Que ce rameau béni protège ta deme… L’ange du souvenir me l’a donné po… Toi qui n’aimes pas que l’on pleur… Sois heureux, plus heureux que moi… Écoute : À ce rameau j’attache une…

Un Barde a vu sa reine fugitive : Il dit qu’un luth, exprimant sa do… De son retour avertissait la rive Où la rappelle un trône... ou le m… Lorsque sa voix, et peut-être ses…

Quand je ne te vois pas, le temps… A je ne sais quel poids impossible… Je sens languir mon cœur, qui cher… Et ma tête se penche, et je souffr… Quand ta voix saisissante atteint…

Ce fut un jour pareil à ce beau jo… Que, pour tout perdre, incendiait… C’était un jour de charité divine Où dans l’air bleu l’éternité chem… Où dérobée à son poids étouffant

S’il avait su quelle âme il a bles… Larmes du coeur, s’il avait pu vou… Ah ! si ce coeur, trop plein de sa… De l’exprimer eût gardé le pouvoir… Changer ainsi n’eût pas été possib…

Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .

Ah, la danse ! La danse Qui fait battre le coeur, C’est la vie en cadence Enlacée au bonheur. Accourez, le temps vole,

Puisque tu vas, Angélique, Au calvaire des Roseaux, Rapporte-moi, pour relique, Une froide fleur des eaux. On ne dort pas sous la haire ;

Oui, vous avez un ange ; un jeune… Il pleure, car il aime... et vous… Il s’en plaint doucement dans le c… Quand elle sonne triste à ralentir… Voyez comme il vous donne et couve…