Nous sommes sur un bateau, très nombreux mais debout.
Serrés, les uns contre les autres, bien plus serrés encore que dans le
Métro, aux « heures de pointe ».
Une voix réclame une cabine, une autre parle du prochain port.
Aucune réponse.
Une voix encore, inquiète, angoissée :
« et le mal de mer alors ! »
Alors c’est le tangage, le roulis et puis...
et puis je me réveille avant que le rêve ne devienne, peut-être, écœurant cauchemar.