Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Je pense à toi, Myrtho, divine en… Au Pausilippe altier, de mille fe… À ton front inondé des clartés d’O… Aux raisins noirs mêlés avec l’or… C’est dans ta coupe aussi que j’av…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
« Ce roc voûté par art, chef-d’œuv… Ce roc de Tarascon hébergeait aut… Les géants descendus des montagnes… Dont tant d’os excessifs rendent s… Ô seigneur Du Bartas, je suis de…
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie, Où, rêveur et pensif, Je vis captif, Pas une herbe ne pousse
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Quiconque a regardé le soleil fixe… Croit voir devant ses yeux voler o… Autour de lui, dans l’air, une tac… Ainsi, tout jeune encore et plus a… Sur la gloire un instant j’osai fi…
Pays enchanté, C’est la beauté Qui doit te soumettre à ses chaîne… Là-haut sur ces monts Nous triomphons :
Notre-Dame est bien vieille : on… Enterrer cependant Paris qu’elle… Mais, dans quelque mille ans, le… Comme un loup fait un boeuf, cette… Tordra ses nerfs de fer, et puis d…
Napoléon mourant vit une Tête arm… Il pensait à son fils déjà faible… La Tête, c’était donc sa France b… Décapitée aux pieds du César expi… Dieu, qui jugeait cet homme et cet…
Au printemps l’oiseau naît et chan… N’avez-vous pas ouï sa voix ?... Elle est pure, simple et touchante… La voix de l’oiseau—dans les bois… L’été, l’oiseau cherche l’oiselle…
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence