Quand de la divine enfant de Norv… Tout tremblant d’amour, j’osai m’a… Il tombait alors des flocons de ne… Comme un martinet revole au cloche… Quand je la revis, plein d’ardeurs…

Devant le pur, devant le vaste cie… Où scintillaient déjà quelques éto… Sur la terrasse, avec des fichus e… Toute la compagnie avait voulu s’a… Devant nous l’étendue immense, fro…

On n’a pu l’emmener qu’à la derniè… C’était son premier bal, songez !… De sa mère a cédé jusqu’au bout au… De la voir, embellie encor par le… Résister du regard au doigt qui lu…

Ô mon cœur, es-tu donc si débile e… Et serais-tu pareil au forçat qu’o… Et qui boite toujours de son boule… Tais-toi, car tu sais bien qu’elle… Je ne veux plus souffrir et je t’e…

Hier, j’ai surpris l’aurore à son… Quand le nid est muet encore sur l… Là-haut, le sombre azur. Plus bas… Enfin, à l’horizon, un flamboiemen… Bleu, blanc, rouge !—Le ciel, à n…

Par une nuit d’orage et sous un ci… Parfois le paysan qui sort d’une v… Aperçoit au détour de la route mou… Un feu follet énorme et fixe comme… S’il s’avance, domptant son effroi…

Tout vit, tout aime ! et moi, tris… Ainsi qu’un arbre mort sur le ciel… Je ne peux plus aimer, moi qui n’a… Et je viens de quitter sans regret… Je suis comme un malade aux penser…

Paris, certes, est une merveille ; Mais, s’il pouvait avoir Vos yeux de diamant noir, Il serait un petit Marseille.

Sous les pleurs du jet d’eau qui b… Armide étreint les flancs du héros… Près d’Ares, qui de sang ruissell… Mêle ses fins cheveux aux crins ru… Donc, ô femme, toujours ton capric…

Songes-tu parfois, bien-aimée, Assise près du foyer clair, Lorsque sous la porte fermée Gémit la bise de l’hiver, Qu’après cette automne clémente,

Obsédé par ces mots, le veuvage et… Mon rêve n’en veut pas d’autres po… Cette mélancolie immense et monoto… Qui m’ôte tout espoir et tout dési… Il évoque sans cesse une très-long…

Pâle sous la céruse et les cheveux… L’illustre premier rôle encor jeun… L’homme à femmes, malgré son âge a… Obtient, comme au beau temps, des… Et, depuis des milliers et des mil…

Pour venir t’aimer, ma chère, Je franchis les blancs ruisseaux, Et j’ai l’âme si légère Que j’ai pitié des oiseaux. Quel temps fait-il donc ? Il gèle…

Je pris le bateau-mouche au bas du… Et sur un banc devant le public tr… – Ô naïve impudeur ! ô candide ind… Je vis un ouvrier avec sa connaiss… Qui se tenaient les mains, malgré…

Je n’ai jamais compris l’ambition.… Que l’homme simple trouve en lui s… Et le modeste sort dont je suis en… Si je travaille bien et si je devi… Sans que mon cœur de luxe ou de gl…