Charaxo

Rage

En moi est cette haine, comme un serpent cobra,
Un sifflement de l’air, la chute d’un tronc d’arbre
Une troupe de légionnaire, abaissant leur ferraille,
Tous ces jets de poussières, te prennent en embuscade
Avec ces cris de guerre, tu tombes de la muraille,
Sur la plus dur des terres, tu t’exploses la face,
T’as plus besoin d’haltères, tu portes tout ton village,
 
Redresse toi et fier, marche comme un animal,
Tu n’es pas une guerrière, un bateau à trois mâts,
Tu représentes l’être, qu’attendais ta bourgade,
Enlève moi ces vers, tu les terrasseras,
D’une valse de balais, pour enlever le mal
 
Attends donc le soleil, assis prêt de ton casque,
Tout ces simples mortels, ne te mérite pas,
Même le plus fin des glaives, se réveillerait tard,
Pour tuer cette dignité, sort la bcaa,
C’est elle qui tire les reines, qui t’empêche de boire
 
Donne moi une pelle, ranger certains espoirs,
Tu n’es pas la dernière, à me porter mon arme,
Un missile nucléaire, serait une arme fatale,
A toutes ces misères, qui nous mettent au plus bas,
Le narcissisme est né, au beau milieu d’un lac,
Il s’est développer, de fer et de métal,
Pour feindre une âme humaine, au lieu de recyclage,
 
Tes enfants envolés, vers des petits nuages,
Au fil de mon épée, je leur offre le voyage
Pour venir te chercher, dans ta grande villa,
Te fondre dans la mer, emporter comme le sable,
Polluer les rivières, moins le reste de mon âme
Tes moi je à la chaîne, ne me manqueront pas

Altre opere di Charaxo...



Alto