Dignité
Se battre juste une fois, guerre épicentre du temps
Se choisir sans vergogne, un objectif trop flou
Rester sur le tarmac, recevoir la fureur
Garder le javelot, des tremblements des airs,
Briser le ciel de pluie, par un smatch de tennis
Soulever un tas de poussière, pour en faire de l’or,
le transformer en rêve, pour en faire l’aurore.
Tout n’est que braise et cendre, quand volonté prétend, trouver le prétendent, de ton seul firmament.
Chaque rayon du soleil, m’indique la voie à suivre,
Chaque larmes de mes peines, fait gagner sur le ring,
Je ne suis pas un aigle, mais le plus grand des cygnes,
Qui parcourt chaque rivière, à l’assaut des anguilles,
Qui envoie ses prières, à toutes les coquilles,
Afin qu’elles se referment, et forment toute une pile,
Afin qu’elles se réveillent, et prennent toutes un pic,
A quoi bon une guerre, pour qu’elle tombe dans l’oublie,
Mes valeurs sont sèches, de ton humeur toxique,
Ma foi reprend les terres, de mes pires ennemis,
Mon âme déterre tes pères, comme tu le mérites,
Je ne ferai pas de dentelle, avec un lâche esprit,
Tu es glorieux mon frère, même quand tu restes assis,
Quand tes globes oculaires, arrêtent leurs frénésies.
Tâche chacun de tes souhaits, de devenir lubies,
Ne choisit qu’un seul rêve, et bat toi toute ta vie,
qu’il devienne ton réel, et leur tour de piz
puis marche contre l’ennemi, avec un grand sourire,
ri de chaque éclat, qu’il soit blanc ou noir,
entre ciel et terre, tel un dieu immortel
