Entouré de magie, tu vois le précipice,
Celui des ornements, des chemins de lampes,
Ou les cailloux brille, où les oiseaux scintillent,
Celui des anges blancs, descendu du présent,
Pour annoncer la vie, projette l’avenir,
Le notre sera comme nous, farceur des derniers jours,
Rigolant en chemin, sur la route des chutes libres,
Tout en ne portant rien, rien que l’amour divin,
Tu es ma seule cerise, celle qui me fait satyre,
Toi mon orange des vents, je ne suis que vanille,
Ma douce mandarine, je t épluchrai à vie.
Entraîner vers ce pays, je m allège à te suivre,
Toi ma divine mélodie, nous sommes en harmonie,
Entourant cette onde, flirtant avec passion,
Embrassant la Joconde, titubant de ta ronde,
Nous contrôlons le temps, quand nos regards se croisent,
Nous sommes pris dans le vent, quand nos mais se rattachent,
Nous n avons plus d argent, quand nos lèvres se débattent,
Nous n’avons plus d avant, quand nous restons ensemble