Chaque chose à sa place, chacun est mobile,
Tous dans notre palace, au dessous de notre lit,
Préparant le carnage, censé nous faire fleurir.
Regarde moi dans les yeux, j te parle de ton avenir
Ecoute tous ces mots, tu ne peux que grandir,
Lie bien mes expressions, je ne suis pas un druide,
Tu as tout à apprendre, même de par une machine,
Arrête donc de bouger, ce n’est qu’un fleuve tranquil.
Je n suis pas un héro, mais je peux faire des choses,
Danser à deux pieds gauche, toujours dans le tempo.
Chanter sans faire de faute, avec une voie de chiot,
Tout ça n’est qu’un gros bol, des meilleures des choses.
Croire dans la lumière, de chaque éléments,
Rouge le feu sous le poêle, qui les rend fascinant,
La nature naît du vert, et vibre par bruissement,
Elle accueille la lumière, car le soleil y tend.
Donne moi rien qu’une cuillère, de ce métal d’argent,
j construirai une échelle, entre les espaces temps
Nous vivons la seconde, qui nous parle de ses rêves,
Nous sentons la pénombre, nous attirer vers elle,
Grimper après ce fond, pour toucher la lumière,
Tout ça pour se morfondre, une fois imprégné d’elle,
Gardons cette sensation, d’harmonie mutuelle,
Connectons notre raison, à la lumière éternelle
Nous n sommes que déraison, en voulant boire un verre,
avec cette passion, dispo pour les mortels.
Arrête ton obsession, à vouloir la faire tienne, elle est immortelle, te voit depuis le ciel, bâtir une frontière, entre toi elle et la paix .
Pour finir en prison, cracher sur tout tes rêves,
Te plaindre des décisions, qui tournent avec le monde.
Je ne suis pas un arbitre, seulement un passant,
qui te voit en délire, cherchant à passant le temps.
Arrête de réfléchir, va plutôt de l’avant,
Ta mère ne t’a pas dit, que tu ne naît gagnant.
Va chercher les amours, ils sont tous rutilant,
et éviter les peines, qui t’attendent au croisement.
La vie n’est pas facile, si tu la voie ainsi.
Ton verre à moitié vide, ne vient pas de ma tente.
La mienne est si grande, que tout est plein de vie,
trêve d’élargissement, chacun son insomnie..