Un nouveau jour se lève, sur la vie parisienne.
Les paupières presque ouverte, j’apprécie le soleil,
On le tire de son lit, où l’inverse qui nous lie,
Bougon je ne peux lire, la beauté de cette frise,
Ces couleurs me supplient, d’apprécier ce récit
Un nouveau jour se lève, dans mon cœur la jeunesse,
Mes cellules s’éclaircissent, face au doré du ciel,
Je respire au même rythme, que le ciel s’illumine,
En moi ces nuages dessinent, un avnir éternel,
Ma tête reste endormie, pour apprécier cette fresque,
Mes deux yeux ébahis, disent oui tu peux en être,
Cette conscience nous unit, on est sur la même terre