Allégresse
La douceur de tes yeux, apaise mon typhon
La brume de tes mains, éclaircit mon désert,
Maudit soit ta splendeur, qui m’écarte des jurons,
Devenons tous mesquin, gardons notre coeur indemne,
Il bat que vers ma fleur, gardienne de mon bonheur,
Mon réveil de passion, ma foudre de chanson,
Tu m’es pire qu’un venin, mieux qu’un croissant l matin,
Tu es mon réverbère, mon unique raison d’être,
Accroche toi aux rênes, on va courir longtemps,
Oublie donc tous tes rêves, ta vie devient une fresque,
Où chaque teinte tente, de faire de toi une reine,
Où la nature s’éveil, au plus beau des soleils,
Chaque seconde est toi, déesse de chaque instant,
Tes rêves sont mes lois, nos projets battent les temps,
Tu es ma sélection, mon ultime décision,
La vie paraît plus longue, quand tu me parles enfant,
Tu m offres l’éternité, à faire danser tes mots,
Ta mélodie m’enivre, de tes exquises saveurs,
Inondé par ma fée, qui me fait voir en gros,
Au pays des iris, toi mon bouquet en cœur,
Nous allons nous glisser, sous la couette des aubaines,
A nous rire des peurs, à nous masser de feu,
A nous la vie sous l’eau, sous le monde des bureaux,
A ne voir que délices, plonger dans notre matrice.
Mon étoile dans mes bras, je te relâchrai pas,
Imagine notre union, vivre de célébrations,
Nous vivrons en tortue, jusqu’à notre point de chute,
A voir le nirvana, ou une de ces étoiles,
Le petit prince est là, il construit l horizon,
A chacun son hara, où vivre ses saisons,
Où partager la flamme, qui fait de nous des rois.
Observer ses pulsions, en faire une base de paix,
Caresser ses raisons, s’ouvrir à l’allégresse.
