Charaxo

Egayer

La plaine bleu s’allonge, la mélodie de brise,
Je te plains pas j’avance, sur un skate sous roulette,
Je vole à travers champs, entre toutes les fleurs d’or,
 
Me voici arriver, en face de ton palais,
Il est bien fortifier, mais trop peu égayer,
 
Il est sombre et méchant, je crois tu vis dedans,
A quoi bon te défendre, ici on est en France.
 
Écoute ma vision, juste une célébrations,
Envers ce qui est bon, donne toi à l’unisson.
 
Sais tu la joie de vivre, est bien dans ce monde ci,
Il suffit de chérir, ce que ton ardeur va suivre.
 
Se battre pour une cause juste, ça n’a rien de vétuste,
Garde donc ta culture, mais jette ce qui t’offusque,
 
Si seulement tu es sage, observe le rivage.
Garde l’or du mirage, jette ce qui le voile.
 
Regarde autour de toi, il n’y a pas un roi,
Enlève moi tout ce poids, qui te saigne en tournoi.
 
Tu n’aimes pas la défaite, ne tourne pas autour,
Évite la comme la peste, construit les plus hautes tours.
 
Et lui le doigt levé, cherche juste à te montrer,
Où voir l’éternité, à toi de l’accrocher.
 
Garde les yeux grands ouverts, aux frasques de ton père,
Tu referas les mêmes, tu es ton propre maître.
 
Que justice soit faite, couper moi toutes ces têtes,
Ils méritent la poussière, et non le lait des mères.
 
Comporte toi comme un chien, tu n’es pas très malin,
Ce n’est pas ton destin, d’inventer tout un train.
 
Retournons dans le beau, où se crée les émeraudes.
Ceci n’est pas factice, juste une mélodie,
Celle qui te berce de lis, la voie que tu mérites

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