Née le 1er Avril 1845 à Lyon d'une famille protestante, Louisa Siefert est une poétesse française du XIXe siècle qui, décédée trop tôt (le 21 Octobre 1877), aura laissé une poésie empreinte de douleur mais garnie de sensibilité. En 1863, elle fait la connaissance de nombre d'écrivains illustres, par l'entremise Charles Asselineau, ami de Charles Baudelaire, comme Victor Hugo, Edgar Quinet, Émile Deschamps, Théodore de Banville, Charles-Marie Leconte de Lisle, Sainte-Beuve, Michelet ou encore le peintre Paul Chenavard.
Née le 1er Avril 1845 à Lyon d'une famille protestante, Louisa Siefert est une poétesse française du XIXe siècle qui, décédée trop tôt (le 21 Octobre 1877), aura laissé une poésie empreinte de douleur mais garnie de sensibilité. En 1863, elle fait la connaissance de nombre d'écrivains illustres, par l'entremise Charles Asselineau, ami de Charles Baudelaire, comme Victor Hugo, Edgar Quinet, Émile Deschamps, Théodore de Banville, Charles-Marie Leconte de Lisle, Sainte-Beuve, Michelet ou encore le peintre Paul Chenavard.
Son premier recueil de poésie, "Rayons perdus" paraît 1868 et connait déjà un succès important ; succès d'autant plus appuyé par la lettre que Victor Hugo va lui soumettre, dans laquelle le géant la félicite de son écriture.
Œuvres :
- Rayons perdus, Paris, Lemerre, 1868
- L’Année républicaine, Paris, Lemerre, 1869
- Les Stoïques, Paris, Lemerre, 1870
- Les Saintes Colères, Paris, Lemerre, 1871
- Comédies romanesques, Paris, Lemerre, 1872
- Souvenirs rassemblés par sa mère et poésies inédites, Paris, Fischbacher, 1881.
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sollicitude vive supplice besoin caresse trouve peines lien soulager plaire donné ouvrait lac passait écho sereine flot grille clarté pierre poser travers moines cimetière rustique doigt toit mur église pleins menez soupirant emporté ç ombrage fraîcheur moments étions teint divin regardais montrant sien haleine blessure candide sentir pense désespère innocence folle imagine comprend cousine donne devient périr quelquefois demande vierge mélancolique oublier méprise unique vieillesse frivole soupçon propre blessé prise mousse tristesse devenir répondait émue entendais éperdu aimée fermée plaie miroir doucement revoir ligne instants pu hasard écart tard ajoutait haute sauvage chant quelles affreux dors vint anciens vide auprès jeunes femmes aviez ailes filles invincible nouvelles inconnus légende connue savais pensait lys bœufs gerbes humide herbes vibrait sacré vallon grise sourd face poussière geste divine nouvelle ombres gaîment aile gracieux humanité sérénité juste fatal venu prisme nu quels blonde senteur ardeur peuple clartés rois bord course scintille frisson épouvante forêt verte épais tremblante lourd poids lente danger sud pinsons murmures paysan seuls taisent jeu triomphants nord mouillés crie malheureux conscience lève chaste blondes appelle parents beuve passées années tels enseigne enviez prêts nuages large montagne gage anneau mystère descend chancelle caprice élégie doutes ingénues musicien souvient gagne lors monte chênes floréal brumaire embaumé accompli sereins vibre parvient passent clairs contraire vieillards puisque nombre commence douces serai eut libre sistre grotte verset bleus naïfs écrit compté déranger sages eh épaule ouvrent chez ninon syllabes poëme frère roule vermeil naïf ouvrant habit revêt ...
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