Le cœur solitaire (1896)
#ÉcrivainsFrançais
Charme indéfinissable et fin, le s… Se glisse, souffles, fleurs et voi… Comme sa paix se pose en baume sur… Comme son calme apprend aux âmes l… Il est profond, il est limpide, so…
Ce soir, sur le chemin sonore du c… Nous menons en rêvant notre amour… D’une obscure tiédeur sous le même… Ô crépuscule amer de novembre ! L’… Est soucieux comme un aïeul qu’on…
Ce cœur plaintif, ce cœur d’automn… Qui veut l’aimer ? Ma belle enfant, on vous le donne Pour un baiser. Amusez-vous, car je vous vois
Encore un peu ta bouche en pleurs,… Tes mains contre mon cœur et ta vo… Demeure ainsi longtemps, délicieus… Auprès de moi, ma pauvre enfant, c… Les formes du jardin se fondent da…
Le sable du ravin est rouge. L’ea… Fait un bruit de baisers sur les c… L’air bleuit, et là-bas les cloche… Répandent l’angélus du soir aux qu… J’écoute ; le geai crie et le rami…
Pour couronner la blonde enfant au… De toutes la plus chaste ensemble… Car sa gorge orgueilleuse a pour h… Que l’azur du bleuet au fauve épi… Quand le ciel d’août torride accab…
Le jour blanc se levait à peine su… Des gouttes d’eau tintaient à mon… Je m’accoudai, tremblant de fièvre… De l’océan obscur et rauque et de… Sépulcre cimenté de plomb blême et…
Écoute. Quelqu’un chante ou soupir… Un lied dont on ne sait s’il est t… Te dénonce l’éveil de l’homme inté… Ecoute, et que ta plume attentive… A recueillir l’écho de cette voix…
Les chats trempent leur langue ros… Au bord des soucoupes de lait ; Les yeux fixés sur le soufflet, Le chien bâille en songeant, moros… Et tandis qu’il songe et repose
Le ciel pâlit, la terre humide et… Respire. Messager du matin, le ve… Agite faiblement la vigne sur le m… Et d’une main timide entr’ouvre ma… Une lueur d’argent lustre l’herbe…
Saison fidèle aux cœurs qu’importu… Te voilà, chère Automne, encore d… La feuille quitte l’arbre, éclatan… Dans les forêts à jour. Les aboiements des chiens de chass…
Quel est ce lied qui fait son nid… Et qu’une femme au loin, délicate,… Ah ! quel lied monotone a crispé m… Au long des draps léchés de fla mm… Nulle ne berce mon chagrin et ne m…
Ô veille de Toussaint et dernier s… Le ciel est une ruche où bourdonne… Et le soleil pâlit sur le jardin d… De même, à l’occident large et pur… Dans un suprême adieu d’amour je d…
La maison serait blanche et le jar… De bruits d’eaux vives et d’oiseau… Et le lierre du mur qui regarde l’… Broderait d’ombres les rideaux Du lit tiède où, mêlés comme deux…
Qu’on ouvre la fenêtre au large, q… Large ouverte à l’air bleu qui vie… Je voudrais, ah ! marcher autour d… Entendre ce que dit l’automne à ma… Car voici la saison où la sève s’é…